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L’obsession mène à la perdition - ft. Theodore Carrow

Constance Selwyn
Cheffe des Assistants du Conseil

Mer 1 Nov - 15:54

 



L’obsession mène à la perdition




 

 
Constance & Theodore
 

Un individu de constitution normale ou d’un minimum de courtoisie serait bel et bien contraint de présenter de véritables condoléances à un ami de la famille. Le décès d’une épouse et d’un enfant pouvait être si traumatisant pour un sang-pur. Enfin... Davantage l’enfant que la mère, l’épouse pouvait être remplacée tandis que la perte d’un fils demeurait bien plus désastreuse. Ainsi... Ton père Sebastian étant très occupé dernièrement à cause du Conseil, il te demanda d’aller présenter ta “compassion” à ce cher Theodore Carrow. Une politesse des plus hypocrites qui te fit presque ricaner mentalement. Mais évidemment, le chef du Conseil savait pertinemment qu’envoyer un beau visage comme le tien afin de “consoler” un sorcier endeuillé, était une belle façon de montrer patte blanche.

De ce fait, tu t’apprêtais de manière convenable, mais ayant cette petite touche de provocation due à ton statut de femme indépendante. Transplanant devant les terres Carrow, tu inspirais dans ton for intérieur en te préparant à faire semblant que tu as véritablement de la tristesse pour cet homme. T’annonçant à l’un des domestiques, tu fus menée dans le petit salon où tu restais debout devant le feu, ayant un verre de vin dans les mains qui t’avait été servi pour te faire patienter.
Quand le Carrow fit son entrée dans la pièce, tu baissais la tête par respect avant de lui adresser un sourire à la fois mélancolique, compatissant et désolé pour lui. Ah... Les joies de faire semblant, c’était une seconde nature pour toi.

- Sire Carrow. Toutes mes condoléances pour votre épouse et votre fils. La perte d’un être aimé et d’un enfant doivent être une épreuve des plus difficiles. Mon père Sebastian Selwyn m’a mandé de vous présenter sa compassion.

Oui enfin... Compâtir était un bien grand mot puisqu’il avait fait assassiner ta mère pour son incompétence à engendrer des héritiers mâles. Toutefois, il s’agissait d’un parfait prétexte pour faire semblant d’être dans la même situation que le Carrow. Comme si un “drame” allait rapprocher davantage les deux familles.

- J’ai ouï dire que la maladie a emporté votre petit ange. J’en suis fort désolé, il était si jeune.

Des paroles évidentes, mais la douceur se lisait tant sur ton visage que l’on pouvait te donner “Le bon Dieu sans confession” comme l’aurait dit ces impurs de moldus. Ces expressions te faisaient dresser les cheveux de la tête. Enfin... Tu posais le contenant sur l’une des grandes tables avant de t’approcher, mais gardant évidemment une distance respectable.

- Vous savez que vous pouvez compter sur le soutien de notre famille. Une telle tragédie ne peut nous laisser indifférents, nous sommes liés par le sang après tout. Il est de notre devoir de vous prêter main forte.

De beaux dires certes, néanmoins la manipulation était certaine. Il faut dire que tu ne pensais pas un mot de ce que tu déblatérais, par ailleurs... Ton visage, tes expressions corporelles ainsi que ton attitude dépeignaient une sincérité qui pourrait leurrer n’importe qui, du moins... en théorie.


 

By Feloe

Constance Selwyn
Alohomora
Théodore Carrow
Collecteur d'Impôts

Sam 9 Déc - 4:38




L’obsession mène à la perdition

Feat Constance

Quel événement fâcheux, cette fois Théodore a fait une erreur de calcul. Lui qui a l’habitude de cerner plutôt facilement les personnes, s’est fourvoyé. En réalité, il a accepté d’épouser Sirena en pensant que son obsession pour lui pouvait lui servir. Malgré son incapacité de lui donner un enfant en bonne santé, il ne la pas tué, puisqu’elle venait d’une bonne famille. Cependant, malgré tous ses efforts, elle ne lui a pas servi à grand-chose.

Cela serait un mensonge de dire, que toute la famille n’était pas rassurée de s’être débarrassé de la femme de Théodore. Celle-ci a simplement réussi à compliquer les choses, l’intervention du patriarche a été nécessaire de nombreuses fois, afin d’éviter le scandale. Finalement, l’homme étant encore jeune, il peut parfaitement trouver une autre femme pour l’aider dans ses projets. Bien entendu, cette fois-ci il compte faire un choix stratégique et réfléchi. S’il veut retrouver la confiance de son père, il faut qu’il épouse une femme d’une famille supérieure à la défunte. Même s’il est vrai, qu’il a déjà commencé à réfléchir, il faut qu’il soit patient. Pour l’instant, Théodore doit se faire passer pour un homme en deuil. C’est pour cela, que le manoir et les habits des membres de la famille sont devenus bien sombres depuis le décès de Sirena. Même s’il est vrai, qu’ils ne sont pas les plus joyeux en général, la différence est tout de même flagrante.

Quand on prévient l’homme qu’une invitée est arrivé, Théodore a tout d’abord refusé la rencontre. Cependant, en entendant le nom de famille, le Carrow décide de rencontre la fille du chef du conseil par pure curiosité. Une fois dans la salle, il baisse légèrement la tête pour saluer la jeune fille et reste silencieux. Sans attendre, Théodore a le droit à une scène larmoyante d’une jeune femme douce et compréhensive face à la perte de membres de sa famille. Alors qu’elle se trouve devant lui, l’homme ne peut pas s’empêcher de laisser échapper un léger rire discret.

« Je vous remercie pour votre sollicitude mademoiselle. »

Théodore prend simplement le verre qu’on lui apporte, puis attend que tout le monde quitte la pièce pour reprendre la parole. Même s’il n’est pas joyeux, on peut entendre dans le son de sa voix qu’il est amusé par la situation.

« Cependant, vous êtes une Selwyn. Connaissant très bien votre père, je peux dire sans me tromper que vous devez forcément lui ressembler. Sinon vous seriez morte. »

L’homme reste silencieux quelques instants, alors que son regard se promène sur la jeune femme. Il ne peut pas dire le contraire, elle est magnifique. Même si cela est indéniable, Constance est sans aucun doute une rose avec beaucoup d’épines.

« C’est pour cela, que je sais que vous ne pensez pas un seul de vos mots. Je ne peux pas vous en vouloir, comment se sentir triste face à la perte d’un héritier malade et d’une femme faiblarde. »

Il ne se cache pas, Théodore en a marre de jouer les gentils. Cette fois-ci, il joue cartes sur table, parce qu’il sait que la personne devant lui n’est pas différente. Légèrement souriant, il boit une gorgée de son verre, tandis que ses yeux se plongent dans le regard de Constance. Quelques instants de silence prennent place dans la pièce, Théodore ne peut résister face à des yeux comme ceux de la jeune femme. Cependant, il décide de couper le contact, avant d’aller s’assoir dans l’un des sièges peu confortables du petit salon. Son regard se pose ensuite sur la jeune femme, alors que son léger sourire n’a pas disparu.

« Même si cela ne dérange guère les yeux, ne restez pas debout.  »



Codé par Heaven
Théodore Carrow
Alohomora
Constance Selwyn
Cheffe des Assistants du Conseil

Lun 11 Déc - 21:54

 



L’obsession mène à la perdition




 

 
Constance & Theodore
 

La vie n’était elle pas qu’une vaste pièce de théâtre ? Chaque individu se devait de jouer son propre rôle ou de feindre une personnalité qu’il ou elle ne possédait pas. Enfin, il était évidant qu’il valait mieux pour toi de laisser paraître que tu demeurais véritablement désolé pour lui, même si ce n’était absolument pas le cas. Une femme comme Sirena a toujours été particulièrement intense... Pour bien peu de choses, au moins avait-elle réussi à donner un fils, jusqu’à ce que celui-ci ne s’éteigne. La famille Carrow devait davantage ravaler leur dignité plutôt que de pleurer cette pitoyable sorcière.
Après avoir exposé tes sentiments respectueux envers cette défunte épouse, tu écoutais les propos du sorcier qui... se permit de souligner une réalité. Enfin... Du moins quand le reste de la plèbe vint à disparaître. Ainsi... Tu ne pus retenir un léger rire.

- On ne peut donc rien vous cacher. J’admets que j’éprouve davantage de la pitié pour vous, notamment envers votre honneur qui a dû subir un véritable choc face à une telle erreur de jugement.

M’enfin... Il ne pouvait pas deviner qu’une telle femme engendrait un rejeton aussi maladif. Finalement, il te dévisageait longuement. Décidant de ne pas baisser les yeux, tu lui rendais ce regard jusqu’à ce qu’il daigne s’asseoir. Lui offrant un petit sourire, tu prenais place à ton tour sur l’un des sièges avec grâce et élégance.

- Je ne vais guère me faire prier dans ce cas.

Prenant le soin de boire une gorgée de vin, tu observais le sorcier face à toi... Te demandant comment un homme de sa stature avait pu commettre une telle faute de parcours. Il ne t’avait pas fallu plus de quelques minutes pour deviner que ton couard d’ex-fiancée, ne ferait absolument pas l’affaire. De ce fait, tu entrepris de faire un peu plus tomber le masque.

- En somme... Elle n’avait que son physique pour elle, d’apparence du moins. Cela expliquerait pourquoi un homme comme vous, ait pu se perdre dans un mariage aussi catastrophique. Une épouse hystérique et un fils fragile... J’ose espérer que vous avez pu profiter de sa dote comme il se doit, même si elle ne comblera pas le prix de votre fierté bafouée.  

Un léger gloussement s’échappant de nouveau de tes lippes alors que tu replaçais une dentelle de ta manche. Après tout... Il pouvait constater que tu étais la digne fille de ton père, une femme de caractère avec une langue acerbe et venimeuse...  

- Espérons pour vous que la prochaine vous donnera plus que la précédente. Enfin... Cela ne devrait pas être bien compliqué, puisqu’elle ne vous a pas laissé grand chose.

Voilà la véritable femme que tu demeurais... Une sorcière mauvaise qui n'avait pas peur de proférer son dédain et son mépris envers ceux qu'elle regardait de haut. Sirena ne faisait guère exception.


 
By Feloe

Constance Selwyn
Alohomora
Théodore Carrow
Collecteur d'Impôts

Dim 18 Fév - 20:27




L’obsession mène à la perdition

Feat Constance

Théodore n’est pas triste, il est plutôt frustré par la situation. Même s’il est revenu, Théodore a perdu son ancienne place auprès de son géniteur. Aujourd’hui, il n’est que l’ombre de son frère. Le Carrow a fait une erreur, qu’on peut difficilement oublier. En effet, la naissance d’Elisabeth entache à jamais la vie de Théodore. Même si le jeune homme a de nouveau été accepté dans la famille, il est constamment comparé à son frère. Bien entendu, Elijah est parfait, ses choix sont judicieux, sa fille est exemplaire. A contrario, Théodore n’est encore accepté que par son sang.

En se remariant avec Sirena, Théodore espérait pouvoir prouver au chef de la famille qu’il pouvait également faire honneur au nom Carrow. Cependant, les événements n’ont fait qu’aggraver la situation du jeune homme. Un soupir s’échappe de ses lèvres, alors qu’il pense à sa défunte femme, qui n’a pu que lui donner un héritier maladif. Son regard posé sur Constance, son visage ne cache plus sa frustration. Étonnement, il ne pense pas qu’il soit nécessaire de cacher la vérité à la jeune fille. Theodore ne sait pas pourquoi, mais la Selwyn ne semble pas intéressée par le destin de la femme de Theodore.

« Certes son physique était plaisant, mais sa loyauté restait la seule raison de mon choix. »

Déclare-t-il d’un ton calme, mais encore frustré. Un choix intéressant sur le moment, mais qui s’est avéré être une grosse erreur. Un énième soupir s’échappe de ses lèvres, alors que son regard est toujours posé sur la jeune femme. Il reste silencieux pendant quelques instants, afin de profiter de la vue plus que plaisante. En effet, Théodore ne peut pas le nier, Constance est réellement belle. Cependant, il ne peut plus se faire avoir par la beauté. Le Carrow s’est fait abuser une fois, il ne compte pas laisser cela se reproduire. Finalement, il laisse échapper un soupir, alors qu’il reprend la parole toujours calme.

« C’est compliqué de faire pire que Sirena de toute manière. »

Certes ils se connaissaient depuis l’enfance, mais la jeune femme s’est laissé dépasser par son obsession. Theodore le sait, il faut qu’il trouve quelqu’un de loyal, mais qui a la capacité de faire les choses dans leur intérêt. Malheureusement, la jeune femme ne possédait pas cette intelligence. Trop occupée a s’occuper de l’héritier malade, elle était incapable de faire avancer les choses. C’est pour cela, que Theodore n’a pas pu améliorer sa place au sein de la famille.

« À vrai dire, j’espère trouver quelqu’un d’ambitieux. »

Le Carrow veut dépasser son frère, mais également prendre le pouvoir sur celui-ci. Même s’il n’hérite pas du titre, si son géniteur le place au-dessus de Elijah, il va gagner en autorité. Theodore laisse échapper un énième soupir, alors que son regard est toujours posé sur la jeune fille. Il se demande s’il va trouver la personne qui lui faut, surtout qu’il est à peine veuf. Est-ce que les familles vont lui proposer leur fille? Espérons que son père n’est pas l’idée de le marier avec une personne âgée, même si celle-ci possède une grosse fortune.

« Qu’attendez-vous réellement de moi Contance Selwyn? »

Le jeune homme le sait, un Selwyn ne s’attarde jamais à un endroit sans but précis. Cette famille est considérée comme des fins stratèges, qui marche seulement dans leur intérêt. C’est pour cela, que Theodore ne comprend pas ce qu’il peut apporter à la jeune femme.



Codé par Heaven
Théodore Carrow
Alohomora
Constance Selwyn
Cheffe des Assistants du Conseil

Mar 20 Fév - 11:50

 



L’obsession mène à la perdition




 

 
Constance & Theodore
 

Ah... Le délicat fumet de la frustration et de la contenance entendue. Un spectacle des plus plaisants à observer. Ce cher Carrow n’avait pas seulement un joli minois à offrir, mais aussi un sentiment d’amusement complet. Il venait de faire l’étalage d’une certaine perspicacité. Effectivement, tu n’avais rien d’une enfant de chœur et ta cruauté n’avait d’égal que ta beauté. Une femme aussi séduisante que dangereuse. Un bon nombre d’hommes crédules espérait pouvoir te posséder, aucun d’eux n’était parvenu à voir au-delà de l’apparence sage et innocente que tu laissais apparaître devant le commun des mortels. L’on pouvait donc dire que Theodore était un cas à part, puisqu’il t’a expressément demandé de faire tomber le masque. A la bonne heure, enfin un homme qui n’attend pas d’une femme qu’elle soit uniquement une belle potiche.

Néanmoins, tu ne pus t’empêcher de remuer le couteau dans la plaie, mettant en évidence la déplorable erreur qu’il avait commis en ne choisissant pas mieux le parti à s’unir. Même si Sirena était une parente, tu n’avais aucun scrupule à mettre en avant les défauts de celle-ci, tu n’avais rien d’une langue de bois, tu placardais simplement des évidences notables, qui ne l’étaient pas nécessairement pour beaucoup d’individus.

- Hélas, la beauté ne suffit pas toujours. Beaucoup de fleurs demeurent magnifiques quand elles éclosent, mais se fanent trop rapidement pour en tirer profit. Vous avez pu le constater très tôt, n’est-ce pas ?

Retenant un gloussement sarcastique, tu inclinais délicatement la tête alors qu’il exprimait ce qu’il recherchait. Une ambitieuse donc ? En réfléchissant bien, il devait certainement y en avoir quelques-unes. Cependant, un homme veuf n’était intéressant que dans certains cas de figure : s’il était héritier, s’il possédait des terres ou s’il était suffisamment riche pour subvenir aux besoins d’une future mariée. Enfin, tu ne pus véritablement continuer ta petite liste d’éventualités, puisqu’il posa une question très claire. Ce qui t’arracha un rictus des plus amusés.

- Je peux attendre beaucoup de choses de vous. Tout dépend la temporalité. Actuellement, je recherche du divertissement. Autant vous dire que j’ai de quoi faire, vous voir aussi misérable est très satisfaisant. Un homme aussi séduisant et charismatique qui a finalement perdu face à une paire de hanches défectueuse. Il y a de quoi rire.

Une pique non dissimulée, tu n’étais pas une sainte. Te délecter du malheur d’autrui demeurait quelque chose de courant. Malgré tout, si ton père t’avait envoyé voir le Carrow, ses intentions étaient limpides. Par ailleurs, tu avais bien l’intention de te divertir pleinement. Ainsi, tu ajoutais calmement après avoir bu une gorgée de ta boisson.

- Plus sérieusement, vous êtes supposé demeurer un homme intelligent. Ne me faites pas croire que vous n’avez pas sondé les intentions de mon père. Il a certainement bon espoir de lier nos familles d’une façon ou d’une autre. Il ne compte pas sur ma docilité, mais sur mon pragmatisme. Ainsi, il m’a assurément envoyé vous voir afin que je me fasse un avis plus tranché sur vous.

Gardant ta posture élégante, tu posais doucement le contenant. Joignant tes mains en dévisageant longuement le Carrow, tu lui offrais un délicat sourire imprégné d’une malice concrète et sans faussetés.

- Sans vous offenser. Aucune famille n’acceptera de vous vendre l’une de ses filles. Après tout... Ils craindront que celle-ci se donne la mort, car elle n’aurait pas été soutenue par vos soins. Il est tellement plus simple de blâmer autrui plutôt que de remettre en question son éducation.

Mettre le doigt sur ce qu’il y a de plus douloureux... Hm... Un délice. Enfin, tu poursuivis d’un ton toujours aussi courtois malgré l’aspect dégradant de tes propos.

- En d’autres termes... Mon actuel célibat pourrait être votre seule chance de salut. Toutefois... Je suis une femme difficile et j’attends beaucoup de mon futur époux. Actuellement, d’apparence... Vous n’avez que votre nom comme seul et unique prestige. Certes, vous êtes bel homme, mais... comme je l’ai dit plus tôt, la beauté ne fait pas tout. De ce fait... J’attends de vous que vous vous vendiez à moi. Montrez-moi donc que vous méritez de devenir mon époux. Pour ma part, je n’ai guère besoin de vous exposer toutes mes qualités, la gent masculine le fait très bien à ma place.  

Et au niveau de la fertilité... Ta grande sœur était le parfait exemple d’une bonne poule pondeuse. Même si celle-ci était morte prématurément avec un garçon en son sein. Pour étayer un peu plus, tu lui souriais davantage et tu ajoutas.

- Je suis désormais toute ouïe, Sire Carrow. Quels sont les avantages à tirer en devenant votre femme?  



 
By Feloe

Constance Selwyn
Alohomora
Théodore Carrow
Collecteur d'Impôts

Dim 14 Avr - 2:08




L’obsession mène à la perdition

Feat Constance

La rose dévoile finalement ses épines, Theodore ne peut qu’écouter les paroles de la jeune femme avec un léger sourire sur les lèvres. Il ne peut pas le nier, sa beauté n’est pas une légende, mais sa méchanceté également. Malheureusement pour elle, les mots ne peuvent plus blesser l’homme qu’est aujourd’hui le Carrow. Néanmoins, il ne peut pas renier son talent pour débusquer les faiblesses de ses confrères. Alors qu’elle lui demande de se vendre, un léger rire s’échappe des lèvres du jeune homme. En réalité, il ne peut pas le nier, la jeune femme possède toutes les qualités qui peuvent lui permettre d’être arrogante. Constance est d’une beauté extraordinaire, mais elle possède également un nom très puissant. Les Selwyn sont connus pour leur dévouement aux sang-purs, mais également pour leur habileté à toujours obtenir du pouvoir. Ses yeux posés sur la jeune femme, Théodore reste silencieux. Il réfléchit pendant quelques instants, une alliance avec cette famille pourrait être d’une grande utilité. Cependant, ce n’est pas un homme qui se vend. Finalement, il reprend la parole d’un ton plutôt calme.

« Vous semblez très confiante mademoiselle Selwyn.  »

Théodore se lève, avant de se diriger vers la cheminée. Son regard n’est plus posé sur Constance, mais il reprend la parole d’un ton assuré et toujours aussi calme.

« Je ne peux pas nier, que vous possédez de nombreux atouts. Cependant, vous vous trompez sur plusieurs choses.  »

Sans raison, le jeune homme jette son récipient dans la cheminée. Puis, il se tourne vers la jeune fille, un léger sourire aux lèvres. Quel magnifique amusement, Constance à réussi a divertir Théodore pendant une journée aussi longue qu’ennuyeuse. Sans rien ajouté, il s’approche de la jeune femme. Après s’être placé derrière son siège, il pose ses deux mains de chaque côté de Constance. Le Carrow se baisse vers elle, puis viens chuchoter à son oreille.

« Premièrement j’ai eu des propositions de familles voulant me vendre leur fille, bien avant que ma femme ne nous quitte. Voyez-vous, peu de gens ont été aveugles face à la fragilité de cette pauvre fille. »

Par la suite, il s’éloigne, tout en se redirigeant vers la cheminée. Il reprend la parole, un ton calme, mais teinté d’un amusement étonnant.

« Bien entendu, les intentions de votre père sont assez évidentes. Cependant, je souhaitais voir si vous étiez aussi délicieuse qu’on le raconte. »

Pendant quelques secondes, son regard se perd sur les flammes. De nombreuses fois, Théodore s’est demandé s’il ne serait pas plus simple de brûler cette famille. Les détruire un par un, afin de leur faire goûter le goût amer de la poussière. Cependant, il s’est ravisé, c’est un Carrow et une famille détruite lui serait inutile. Une fois revenu à lui, il se retourne à nouveau vers Constance, avant de reprendre la parole.

« Cependant, même si j’apprécie votre beauté, votre intelligence et votre force de caractère, vous n’avez pas grand-chose à vendre. Tout comme moi, vous n’avez que votre nom et une attirance pour le pouvoir. »

Un léger rire s’échappe de ses lèvres, alors qu’il continue à parler.

« Vous pouvez le nier, si vous le souhaitez. Cependant, Constance Carrow vous aimez écraser les plus faibles sans pitié. En réalité, vous appréciez avoir le contrôle sur la populace. »

Théodore s’approche de la jeune femme, puis il se place devant elle. Ses mains se posent de chaque côté de sa personne, alors qu’il se baisse afin d’être à son niveau. Son sourire toujours présent, il reprend la parole.

« Et vous mademoiselle, méritez-vous d’être ma femme? »

Certes Constance est une rose avec des épines, mais le Carrow a besoin d’en voir plus. En réalité, Théodore a besoin d’une femme ambitieuse prête à détruire les gens incommodants. Même s’il est vrai, que Constance est la représentation de la cruauté, peut-elle réellement dépasser les railleries lancées pendant les fêtes.


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Théodore Carrow
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Alohomora
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