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:: Le début d’un monde complexe :: Évents

[Event 2 - Part I] - Il était une fois … (ouvert à Poudlard)

Le Choixpeau

Fondateur, la personne qui va choisir votre destin à Poudlard

Ven 4 Aoû - 22:14

Il était une fois

Mars 927

Des couloirs sombres, un lieu isolé dans cette école où la notoriété commence à se faire ressentir, même entre ses murs. Ce qui n’était qu’un souffle, une idée il y a plus de huit années en arrière est devenu un lieu envié même par le Conseil des Sorciers. Mais après toutes ses années de tranquillité, les choses sérieuses commencent aussi à sortir de l’ombre. Lieu lugubre, couloirs tamisés par les torches qui arborent les murs, long, droit, et laissant derrière eux une atmosphère morbide. Au loin, des échos, des souffles, des mots inaudibles. L’obscurité s’approche, guettant son étendu dans son propre cercle infini. Une brise hivernale se fait sentir, attirant même des frissons. Les dortoirs sont pleins, les préfets rodent, les professeurs veillent. Mais personne ne se doute de ce qui va se passer. L’heure est une notion relative. En approchant des torches, des ombres se profilent, filant à toute allure loin des champs d’action des membres du personnel. Si vous suivez ces ombres, vous serez emmenés vers le sixième étage. C’est l’endroit favori des élèves pour se réunir, mais à force, cet étage est aussi connu des Fondateurs pour cette même raison. Une fois que vous entrez à l’étage, vous rejoignez ceux que vous considérez comme vos amis. Il est temps d’organiser une petite réunion illégale, les plans sont en marche.

« - Demain, nous passerons à l’action. »
« - Qui est notre cible ? »
« - Un élève de troisième année de la Maison Serdaigle ! »
« - De ma maison ? C’est une blague, J ? »
« - N’oublie pas que c’est un non-maj et qu’il n’a rien à foutre dans l’école. Tu connais les lois tout comme moi, H »
« - Sérieux, vous me faites chier avec vos conneries et vos rappels intempestifs. K, je te rappelle que tu as juré sur la Bible »
« - Pardonnez-moi ! »
« - Bien. Il s’agit de Arés Landcraft. On le piégera lorsqu’il se rendra à la bibliothèque, je sais de source sûre qu’il y passe tout son temps libre. »

Chacun des participants se décidèrent rapidement. Mais personne ne savait que ce qui pourrait être une vaste blague allait entraîner des conséquences irréversibles. Le lendemain, tout était parfait. Le plan était en marche et chacun avait son rôle. Le jeune Arés subit les conséquences de ses origines et ce, parce que le Conseil des Sorciers avait déterminé que les représentants de son espèce n’avaient rien à faire dans cette école. Ou même dans le monde sorcier tout simplement. Mais alors que la farce continue, le petit groupe est surpris par quelqu’un qui devait aussi aller à la bibliothèque. Un duel fuse, le groupe s’en prend à quelqu’un d’autre. Un misérable qui espionnait. Une dans ce cas. Des mots de sorts, des cris, des coups physiques et une chute dans l’escalier arrachant un cri qui paraît pour certains inhumain. Un corps roulant dans les escaliers qui ne lui accorde pas de repos. Lorsque ce dernier finit sa course, le visage est reconnaissable, les yeux fermés et un teint pâle alerte sur l’urgence. Les ombres ont lâchement fui, la honte les poursuit. Mais cet acte risque de mettre le feu aux poudres… La tranquillité de Poudlard est désormais en péril…

Awful pour Epicode

Alohomora

Olympéa Malefoy

Élève de 5ème année chez Serpentard

Ven 4 Aoû - 22:49

Olympéa &
PNJ

Once upon a time…

Mars 927 après Jésus-Christ, Poudlard, Grand Escalier

Ce matin-là, tu devais te rendre à la bibliothèque. C’était ton point de rendez-vous avec Stella afin que tu puisses travailler la Botanique avec elle. Elle détestait la Botanique alors que tu adores cette matière. Pour toi, la Botanique représente un moyen d’approfondir tes connaissances avec les plantes. Seul ton jumeau et une personne en particulier savent que tu as une passion pour les poisons. Et dans le fond, tu avais hâte d’essayer sur les Moldus. Tu voyais en ça, un moyen de te défendre contre eux au cas où que cela venait à dégénérer. Bien que ta famille ne soit pas dans les bonnes grâces du Conseil, tu avoues aimer être en contact avec les Moldus. Ils ont tellement de façon de s’amuser que cela en est parfois très drôle. Les joutes moldues sont sanglantes, mais tu ne préfères pas avouer que tu aimes ça. Seulement, tu n’es pas avec les Moldus, tu es à Poudlard. Tu avais d’ailleurs croisé ton père un peu plus tôt dans la Grande Salle où tu te restaurais. Tu aimes ton père et il représente un véritable pilier pour toi. Sans oublier ton jumeau que tu n’as pas croisé pour le moment, même dans la Salle Commune de Serpentard. Ce n’est pas très grave.

Tu avais bien déjeuné et il était temps de t’occuper avant ta première heure de cours qui n’était pas pour de suite. C’est pour cela que tu avais pris ce créneau pour travailler avec la jeune Black. Portant ta tenue obligatoire et ta cape de maison, tu montes les marches une à une, en silence en écoutant tout de même le brouhaha des tableaux qui se plaignent et qui gémissent. Sérieusement ? Cela commence à te taper sur le système. Arrivant à proximité, tu entends des voix. Tu te précipites vers l’étage et tu vois ce qui se passe. Il semblerait que des malins s’amusent à agresser tes camarades. Tu aurais voulu le défendre, mais tu n’as pas le temps de sortir ta baguette que des sorts fusent vers toi. Fait chier… Franchement… ta baguette t’échappe des mains et tu dois quand même lutter pour la récupérer. Tu ne lâches pas prise pour autant. Tu combats, du mieux que tu peux.

Malheureusement, cela ne sera pas suffisant. À plusieurs contre toi seule, cela est compliqué. Tu ne démérites pas pour autant. À l’aide de tes connaissances en défense et en sortilèges, tu te défends mais le sortilège de trop t’éjecte dans le Grand Escalier. Malgré tes tentatives de te relever, tu n’y parviens pas et ton corps continue de descendre. Tu as l’impression que l’ascension en sens inversé est terriblement long. Puis, tes pupilles deviennent lourdes, tu es incapable de résister. Tu fermes les yeux et ton corps arrête sa route vers on ne sait où. Malheureusement, ton corps et ton visage porte de nombreux bleus, des traces de blessures et surtout à la tête. Dans ton état, tu n’entends plus rien, tu ne vois plus rien. Tu es absente et tu ne sais plus ce qui s’est passé. Tu es enfermée dans le noir sans savoir ce que ton corps a subit. Allongée sur le sol, ta cape de Serpentard est toujours sur toi mais ta baguette n’est pas avec toi. Et tu n’es pas en état de la tenir.

FT tout le monde — Pando — 552 mots

Alohomora

Salazar Serpentard

Fondateur de Poudlard, Directeur de la maison Serpentard et Professeur de défense contre les forces du mal

Sam 5 Aoû - 1:34

Il était une fois..

Le travail de professeur, personne n’a prévenu le Serpentard de sa complexité. Des élèves bruyants et désobéissants, qui veulent juste enchaîner les bêtises. Comme toujours, Salazar râle en silence, même si en réalité, il aime son travail. Oui c’est étrange, mais le professeur de défense contre les forces du mal aime enseigner. Pour dire la vérité, même lui ne pensait pas que cela arriverait, mais c’est le cas. C’est un enseignant consciencieux et sérieux, même s’il fait tout de même un peu peur avec son visage fermé et mystérieux. Enfin, encore aujourd’hui, Salazar doit s’occuper de ses élèves en leur enseignant son savoir.

Cependant, avant de commencer ses cours, le serpentard décide de se rendre à la bibliothèque. Le professeur souhaite y trouver les parchemins qu’il veut montrer à ses élèves. Il marche tranquillement, alors que son regard se promène sur les élèves qui se promènent dans les couloirs, presque arrivé à destination Salazar s’arrête en entendant des bruits étranges. Tout s’est joué en quelques secondes, alors qu’il réagit directement après avoir entendu le combat, c’est déjà trop tard.

Salazar n’a pas le temps de monter les escaliers, qu’il ne peut qu’observer le corps qui le dévale. Il reste pendant une seconde choquée, avant de hurler aux autres élèves de chercher de l’aide à l’infirmerie. Non seulement une élève s’est faite agressée, mais cette jeune fille possède un lien avec le professeur. Le serpentard serre les dents, alors qu’il use de magie pour tenter de la soigner au minimum.

Il semblerait que Poudlard ne soit pas si calme, mais est-ce étonnant ? Ce sont des enfants, mais chacun vient de famille différente avec des éducations diamétralement opposées. Serait-ce un né-moldu ? Salazar ne peut le croire, il ne veut pas penser qu’un de ses élèves est capable de ce genre d’agression. Il observe Olympea, alors que de nombreuses pensées le traversent. Qui sont les coupables ? Comment gérer ce genre d’événement ? Est-ce qu’ils vont pouvoir empêcher le conseil d’intervenir … Même si les Malefoy n’en font pas partie, c’est le cas des Peverell et Perceval ne laissera pas passer ça.

KoalaVolant

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Il n'y a ni bien, ni mal, seulement le pouvoir et ceux qui sont trop faible pour s'en emparer

KoalaVolant

Alohomora

Invité

Invité

Sam 12 Aoû - 17:49

Le calme avant la tempête. Helga est loin de s’en douter, alors qu’elle range tranquillement quelques parchemins empruntés à la bibliothèque qui, à sa grande fierté, ne cesse de s’agrandir, que sa soirée est sur le point de prendre un tournant drastique. C’est d’abord un peu diffus, et puis de plus en plus fort. Elle entend des sorts être lancés, des décharges de magie s’échapper de baguettes… Elle pose brutalement l'énorme liasse de parchemins qu’elle avait dans les bras, et court jusqu’au couloir. Elle n’a le temps d’apercevoir que le bas d’une cape d’étudiant disparaître au coin du mur opposé, accompagnée du bruit de la course d’une fuite, en même temps qu’elle entend un son étouffé dans les escaliers, plus proches. Elle se précipite, et ce qu’elle voit lui fait perdre l’équilibre au point qu’elle doive prendre appui sur le mur, alors que ses cellules grises s’agitent et qu’elle comprend que des échanges de sorts ont fusé entre élèves. Le tournis lui fait voir 36 chandelles, alors qu’une rage telle qu’elle n’en a jamais connue prend le pas sur la surprise, et le choc. Cette rage enflamme ses joues, la fait se redresser comme un coucou. Salazar au chevet d’Olympea Malfoy, qui a semble-t-il dévalé l’escalier, elle se rassure, au moins pour la demoiselle, qu’elle sait entre de bonnes mains… C’est une chance pour elle, car, les autres, rien ni personne ne les protégera de sa fureur.

« Sonorus. » S’inflige-t-elle, baguette sur la gorge, les dents serrées. « Tous les préfets et préfets en chef sont attendus au sixième étage. Maintenant. » Sa voix amplifiée est si froide, si tranchante… Au moins autant que le visage de la Poufsouffle peut être doux. Cependant, là, tout de suite, il ne faut surtout pas lui demander d’être douce. Helga est en rage, et les élèves sont sur le point d’apprendre qu’il ne faut pas prendre la bonne Helga pour une conne. Un par un, les préfets se présentent, ayant entendu l’appel, certains ayant même couru. Le regard que jette sur eux la fondatrice est toujours bouillant de rage. « Rassemblez tous les élèves de vos maisons respectives dans la Grande Salle. Maintenant. Pas de délais. Pas de dispense. Qu’ils prennent leurs baguettes. Ceux qui bronchent écoperont de retenues jusqu’au printemps. » Des hochements de tête dociles ou des « Oui, Professeur. » lui répondent, avant qu’ils ne s’exécutent. Sitôt les jeunes partis, Helga se hâte de rejoindre son collègue auprès de la blessée.

S’agenouillant auprès d’Olympéa après avoir lancé un regard plein de colère, colère qui ne lui est pas destinée pourtant, à Salazar. Le fait est, la Poufsouffle est bien trop entière pour savoir comment cacher son émoi. Toutes ses émotions, qu’elles soient petites ou grandes, se lisent sur son visage. Helga est un livre ouvert, pour le meilleur comme pour le pire. Cela étant, la colère cède un rien sa place à l’inquiétude quand ses yeux passent du fondateur Serpentard à la jeune élève, de laquelle elle vient inspecter la nuque du bout de ses doigts délicats, avec une infinie douceur. Puis, avec autant de précautions, elle glisse aussi subtilement que possible ses genoux sous la tête de la petite, dont elle se met à examiner les plaies en serrant les dents. « Olympéa ? Olympéa, est-ce tu m’entends ? » Elle glisse deux de ses doigts dans la main de la jeune élève. « Si tu m’entends, essaie de serrer mes doigts… » Sa voix n’est plus brutale, mais profondément inquiète. Il y a peu de choses auxquelles la magie ne saurait apporter de solution, mais les solutions doivent être adéquates, selon l’état, et la première étape est d’évaluer l’ampleur des dégâts ayant frappé la jeune femme…

Alohomora

Rowena Serdaigle

Fondatrice de Poudlard, Directrice de la maison Serdaigle et Professeure de Sortilèges

Mer 16 Aoû - 19:24

Rowena &
tout le monde

Once upon a time...

Mars 927 après Jésus-Christ, Poudlard

Personne ne s’attendait à une telle conséquence en cette matinée qui s’annonçait plutôt tranquille pour toi. Tu avais encore des parchemins à corriger et cela explique pourquoi tu te trouvais si loin des lieux. Tu étais dans ton bureau au sein de la tour qui porte ton nom, non loin de la Salle Commune de ceux qui portent tes couleurs, qui appartiennent à la maison pourtant aussi ton nom et ton emblème. À vrai dire, rien ne semblait t’inquiéter, jusqu’au moment où… En premier lieu, tu entends la voix de ton amie, Helga, demandant à l’ensemble des préfets et préfets en chefs de se rendre au sixième étage. Puis, tu finis par entendre frapper à la porte de ton bureau. Prenant ta baguette, tu ouvres la porte de ce dernier et tu le suis en te demandant ce qui se passait. Ta douce amie n’agit pas de la sorte. C’est qu’il s’est passé quelque chose et tu ne sais pas encore que c’est grave. Un tel comportement te surprend et semble te préparer à ce que tu vas voir. Alors que les préfets ont rejoint le sixième étage, tu rejoins Helga avec un air très inquiet. Et ce n’est pourtant pas ton genre en temps normal, mais là… Tu entends ton amie donner des ordres aux préfets et aux préfets en chef. Tu hoches la tête à l’attention des représentants de ta maison afin qu’il ne traîne pas. Puis tu suis ton amie avant d’apercevoir le corps d’un élève en contrebas. Tu t’arrêtes et tu sens un frisson qui te parcourt l’échine.

« — Qu’est-ce que… ». Il s’agit là plus d’un murmure. Tu ignores ce qui s’est passé, mais tu finis par rejoindre tes deux collègues fondateurs. Tu sais que Godric ne devrait pas tarder, il aime se balader au sein du domaine qui appartient désormais à cette école. Baguette en main, tu fais apparaître ton patronus et tu l’envoies immédiatement auprès de ton époux qui devait se trouver au sein de l’Infirmerie de l’école. Tu sais qu’il n’est jamais bien loin. Tu es horrifiée par la scène, et tu ne sais pas comment réagir plus que ce que tu as fait. Alistair sera probablement mieux s’y prendre que toi. Les soins ne sont pas vraiment ton domaine, même si on t’accorde une sagesse infinie. Tu observes Helga et tu arrives à comprendre qu’elle est en colère puis inquiète. Tu l’es autant qu’elle. Mais tu devais garder ton calme, tu vas devoir affronter les membres du Conseil et le père de la jeune fille qui travaille à Poudlard. Si ce dernier l’apprend, il va vouloir savoir ce qui s’est passé et autant dire que cela te met toi et les autres fondateurs dans l’embarras. Fortement. Tu laisses Helga s’occuper de la jeune élève et tu t’avances vers Salazar en lui demandant discrètement. « — Est-ce que tu as une idée de ce qui s’est passé, Salazar ? ». Tu n’as pas de ton de reproche et tu ne pourrais pas le lui reprocher. Qui plus est, il s’agit d’une élève de sa maison à lui. Pourquoi s’en prendrait-il à cette dernière ? Tu ne peux pas t’empêcher de poser un regard inquiet sur la quatrième année. Nul doute que le Conseil va vouloir s’en mêler.

Tu n’oses pas interrompre Helga. Tu la connais et tu sais ce qu’elle ressent. Même si tu le montres beaucoup moins, tu ne peux pas t’empêcher de t’inquiéter pour cette jeune Serpentard. Cependant, tu essaies quand même de demander avec le plus de douceur possible. « — Est-ce que tu as besoin de quelque chose, Helga ? ». Tu avais déjà prévenu l’infirmier qui devait bien plus s’y connaître que toi en sortilège de soins. Tu connais les bases bien sûr, mais cela s’arrête là. Chacun son rôle et ses compétences. Tu respectes chacun pour ça.

Ft. Tout le monde — Pando — 639 mots

Alohomora

Invité

Invité

Ven 18 Aoû - 17:12

Event - mars 927

Thea arpentait les couloirs de l’immense château que sa sœur avait bâti avec trois autres personnes. Parfois il lui arrivait de regretter d’être trop âgée pour venir dans cette endroit comme élève puis elle se rappelait avec un petit sourire qu’elle avait été l’une des personnes qui lui a donné envie d’enseigner et cela pour rien au monde elle ne l’échangerait. Elle regardait un peu partout avec un sourire, elle aimait vraiment visiter ces lieux, puis elle était heureuse de pouvoir échanger de temps en temps avec le monsieur du tableau du premier étage, c’est un beau parleur un peu trop charmeur cela dit.

D’ailleurs elle en venait du premier étage, comme à chaque fois qu’elle venait ici, elle passait d’abord faire un petit coucou joviale au tableau avant d’aller vaquer à son occupation principale. Aujourd’hui c’était un jour où elle laissait un petit temps la personne qui travaillait pour elle, seul dans l’établissement pour aller se mesurer à Messire Godric Gryffondor, un jour elle le sait, elle arrivera à gagner contre lui. C’est pourquoi elle se baladait dans les couloirs avec son épée sagement posé dans son étuis dans son dos.

En sortant du couloir, elle se fit percuter de pleins fouets par un groupe d’élève qui avait l’air d’avoir un dragon au postérieur tellement il courait aussi vite que leur vie en dépendait. Elle se releva et pris le soin d’épousseter sa robe comme elle pu avant de reprendre sa marche en direction du bureau de Godric, c’est certainement là-bas qu’elle le trouverait.

Seulement arrivé sur place aucun Messire. Elle se mordit un peu la langue avant de tourner un peu sur place avant de partir à sa recherche. Peut-être avait-il eu une urgence à résoudre, il était directeur de l’école avec sa sœur Helga, Rowena Serdaigle et ce vilain Serpentard. Elle pense déjà avoir entendu dire qu’il est intolérant aux moldus. Il faudrait faire l’expérience de voir si on lui met un moldu à ses côtés si de grosses pustules lui pousse. Peut-être qu’il en était réellement allergique ?

Ses pieds la menèrent tranquillement aux sixièmes étages qui semblait plus animés que les autres. Plus elle s’approchait, plus elle était curieuse il semblait tourner autour de quelques choses. Elle se mit sur sa pointe de pied avant de décider de s’approcher d’avantage. Elle arriva silencieusement derrière Messire Salazar Serpentard. « Il se passe quoi Messire Serpent ? » souffla-t-elle curieusement.

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Alohomora

Invité

Invité

Sam 19 Aoû - 21:24

il était une fois...
mars 927

Tous les préfets et préfets en chef sont attendus au sixième étage. Maintenant.

Godric hausse un sourcil.
Franchement perdu.
Tous les matins, il a pris l’habitude d’aller prendre l’air.
Profiter de l’aube, profiter du spectacle de l’astre solaire prenant le pas sur sa sœur lunaire.
Le Gryffondor n’est pas le genre d’homme à aimer rester croupir au fond d’un château.
Alors quand il revient et qu’il entend la voix pourtant douce d’Helga résonner dans les murs et largement amplifiée par le sortilège sonorus, Gryffondor s’est figé.

Rassemblez tous les élèves de vos maisons respectives dans la Grande Salle. Maintenant. Pas de délais. Pas de dispense. Qu’ils prennent leurs baguettes. Ceux qui bronchent écoperont de retenues jusqu’au printemps.

Les élèves qui ne se font pas prier et rapidement, tandis que Godric progresse dans l’immense hall d’entrée du château en observant l’escalier principal, s’arrêtant à côté de l’ouverture de la Grande Salle en se posant beaucoup de questions dont la principale : qu’est-ce qui s’est passé exactement ? Des interrogations qu’il fait taire tandis qu’il croise les bras, zyeutant les gamins qui sont davantage portés sur les chuchotements que se hâter pour se rassembler.

« Ne traînez pas ! », lance la voix forte de Gryffondor pour motiver les élèves à accélérer la cadence qui préfèrent discuter en chuchotant, établissant des théories plus farfelues les unes que les autres plutôt que de se dépêcher à rallier le point de rassemblement, ordonné par Helga. Les gamins ne se font pas davantage prier et rapidement, seul le bruit agité des pas résonnent sur les parois du château.

En partant ce matin-là, Godric ne s’imaginait pas une seule seconde qu’un tel chaos règnerait sur Poudlard et surtout, sous leur nez. Plissant légèrement les yeux, Gryffondor n’aime pas ça. Une telle inattention est inacceptable ; il n’a pas besoin d’avoir été présent pour s’imaginer quelque chose de grave arriver. Qui mette la vie des élèves en péril. Dès qu’il intercepte le regard d’un autre professeur, Godric hoche la tête et s’élance vers les escaliers pour les gravir quatre à quatre en jurant entre ses dents. Ce n’est pas bon. Ce n’est vraiment pas bon du tout.

Heureusement, et bien que ça le frustre sur l’instant, il arrive à rejoindre ses trois comparses (et Thea ?) avant de se figer en fixant la jeune fille à terre. Puis il observe le visage d’Helga, Salazar et Rowena en se disant que si elle était décédée, ils n’auraient pas ce calme – bien que le calme cache toujours la tempête. Godric s’arrête prêt d’eux, les jaugeant tous les trois – et dardant un regard où pulse l’inquiétude sur la jeune élève.

« Il faut que quelqu’un amène cette élève à l’infirmerie, elle y sera plus en sécurité. »

Dans une telle situation, Godric ne veut pas perdre de temps.
Quitte à paraître insensible, dissimulant la détresse de la perte de contrôle.
Gryffondor n’étant pas au fait de ce que les autres ont vu et entendu pendant les instants où il n’était pas encore là, il se permet de prendre les choses en main – au moins pour faire quelque chose.

« Les élèves se rassemblent dans la Grande Salle, d’autres professeurs sont avec eux mais je ne sais pas encore si tout le monde – hormis les préfets – est descendu pour le moment. » Godric marque une légère pause avant de regarder Helga. « Pourquoi faire venir les préfets au sixième étage ? »

Simple curiosité de sa part bien qu’il se doute bien de la réponse, nul reproche dans sa voix, juste l’envie de savoir ; de toute façon il ne tarde pas à dévoiler le reste du fond de sa pensée :

« N’est-il pas plus judicieux de rassembler tout le monde dans la Grande Salle pour voir quels élèves pourraient manquer ? Ainsi que les professeurs. Le château est grand, courir après un fantôme est usant, encore plus quand on ne sait pas quoi chercher. Ou qui. »

@sherlock

Alohomora

Alistair Serdaigle

Infirmier à Poudlard

Dim 20 Aoû - 12:31

Il était une fois...

[Feat Libre]

Comme chaque matin, Alistair se leva aux côtés de sa chère et tendre épouse, avant d'aller réveiller leur fille et de préparer le déjeûner. Une fois ce dernier mis sur la table, les filles arrivèrent et mangèrent avec Al', avant que ce dernier ne parte faire son entraînement quotidien.

Après sa course terminée, l'infirmier alla prendre son poste à Poudlard. Il prit également la petite avec lui, Rowena ayant pas mal de travail au château aujourd'hui, et Alistair voulant passer un peu de temps avec Helena pour lui montrer quelques potions qui avaient des effets amusants.

Père et fille étaient en train de s'amuser, lorsque la voix de Helga Pouffsouffle se mit à résonner dans tout le château, ordonnant aux préfets et aux élèves de se rendre respectivement au sixième étage et dans la grande salle. Quelques secondes plus tard, un message de sa femme lui parvint, luidemandant de la rejoindre dans les escaliers.

Alistair dit à sa fille de monter sur son dos, prenant ensuite sa forme lupine, avant de foncer vers le lieu de l'incident, faisant attention à ce que Helena ne tombe pas avec les secousses dues à son allure rapide. Quant il arriva sur place, l'infirmier laissa descendre sa fille de son dos et reprit sa forme humaine, observant attentivement l'état de la jeune femme au sol.

"Je m'en occupe. Elle va mettre un moment à se remettre de cette chute, mais ses jours ne sont pas en danger au premier abord."

Alistair sortit sa baguette et lança un sort pour ausculter l'ossature de Olympéa, au cas-où elle aurait une fracture à la colonne qui pourrait compliquer son transport jusqu'à l'infirmerie. Par chance, cette dernière ne fut pas touchée, ce qui rassura le médecin qui dit.

"Je lui fais les soins d'urgence ici pour éviter une aggravation de ses blessures, avant de la porter à l'infirmerie. Trouvez celui ou ceux qui ont fait ça."

Après un bref regard vers son épouse, sa fille et ses amis, Al' se mit à lancer les sorts pour refermer les plaies de l'élève, portant ensuite la plus grande attention à l'état de la tête de cette dernière. Une fois l'état de la jeune femme stabilisé, Alistair put enfin emmener Olympéa à l'infirmerie, la posant dans un lit pour pouvoir lui administrer les soins plus poussés pour la remettre sur pieds.

by frimelda

Alohomora

Olympéa Malefoy

Élève de 5ème année chez Serpentard

Dim 27 Aoû - 2:02

Olympéa &
PNJ

Once upon a time…

Mars 927 après Jésus-Christ, Poudlard, Grand Escalier

Autant dire que la dégringolade est sans précédent et surtout que les escaliers ont été suffisamment intelligents pour ne pas la laisser tomber durant tout le trajet. Mais autant dire que cela n’est pas plaisant. Bien que son corps soit sur le sol, les paupières restent fermées. Tu as mal mais sans être en mesure de l’exprimer. Il se passe tant de chose autour de toi que tu n’en as pas conscience. Ton corps est là, mais ton esprit n’est pas avec lui. Tu n’entends donc rien de ce qui t’entoure, tu ne sens pas que ton Directeur de maison tente de te soigner, tu n’entends pas la directrice de Poufsouffle donner des ordres. Tu ne la sens pas à tes côtés. Bien sûr, tu ne l’entends pas t’appeler ni même te demander de tenter de serrer ses doigts. Il n’y a donc aucune réponse. Le corps endormi pour certain, endolori pour d’autre, ne semble manifester aucune réponse aux stimuli provoqués par l’enseignante de Potions. Celle-là même qui s’inquiète plus que tout de l’état de la jeune élève de quatrième année. Aucun son de la discussion ne parvient à tes oreilles et même lorsque l’infirmier arriva sur place, tu ne ressens rien du tout.

Tu n’entends rien, tu ne vois rien et tu ne sais pas ce qui s’est passé. Du moins, pas encore. Au cours de ses vérifications, il ne trouve aucune trace de fracture, ni de blessures sous-cutanées. Cependant, il aura trouvé un hématome situé sur la zone des yeux. Il parvient à stabiliser ton état et tu es transporté à l’infirmerie afin de te reposer. En faisant des analyses plus complètes, il remarquera que ses yeux ne répondront pas aux divers stimuli. Le problème en soi n’est pas ce qui s’est passé, mais l’état dans lequel elle se réveillera. Bien que d’un côté, ce soit le repos entre la vie et la mort, il y a un autre sujet qui risque de mettre à mal l’école. Un sang pur a été agressé et de tous les sangs purs présents, il fallait que cela tombe sur un membre de la famille de Salazar et pire encore, un membre proche de la famille Perevell. Nul doute que l’école va désormais attirer l’attention du Conseil. Tu restes donc allongée à l’infirmerie quelques jours le temps de te remettre de tes émotions, mais aussi te réveiller de ce cauchemar qui risque de devenir de plus en plus dur à accepter.

FT tout le monde — Pando — 409 mots

Alohomora

Salazar Serpentard

Fondateur de Poudlard, Directeur de la maison Serpentard et Professeur de défense contre les forces du mal

Jeu 31 Aoû - 21:02

Est-ce que tu vas bien ?

Salazar est perdu, même s’il tente d’aider la jeune fille. En réalité, le professeur est complètement chamboulé par la scène qu’il vient de voir. Même s’il ne dit rien, le Serpentard a assisté à la chute de la jeune Olympea. C’est un événement qui ne peut que choquer, mais le Serpentard doit reprendre le dessus. C’est un directeur de Poudlard, il ne doit pas montrer sa panique aux autres et surtout pas aux élèves. Bien entendu, étant donné l’accident, beaucoup de personnes commencent à s’agglutiner autour d’eux. Une fois que le professeur voit l’infirmier arriver, il lui laisse sa place pour s’occuper d’Olympea. Même s’il a fait de son mieux, il est conscient que Alistair est plus apte à s’occuper de la jeune fille. Il se relève par la suite, tout en gardant son regard sur son élève.

Puisqu’il était le premier sur les lieux, c’est sans étonnement que tout le monde lui demande ce qui s’est passé. Cependant, que leur répondre ? Même lui n’a pas la réponse à cette question. Il reste quelques secondes silencieux, avant de finalement laisser échapper quelques mots d’un ton songeur, presque perdu.

« J’ai entendu des bruits de combat, puis quelques secondes après elle était en train de dévaler les escaliers. »

C’est une agression, le cerveau du professeur est en ébullition. Cela va beaucoup plus loin, les fondateurs ne peuvent pas régler cela n’importe comment, au risque de déclencher une guerre avec le conseil ou avec les familles des élèves. Toutes les possibilités passent dans les pensées du Serpentard, un faux pas et c’est la catastrophe assurée. Après quelques instants de réflexion, il finit par tourner son regard vers ses collègues et particulièrement helga.

« On ne peut pas vérifier leur baguette, sinon on risque un scandale. C’est une sang-pur, et c’est puni. Comme on dit toujours … un sang pur n’en agresserait jamais un autre. »

Ils sont bloqués, s’ils vérifient les baguettes, les familles vont crier au scandale. De plus, ils ne peuvent pas forcer les élèves à accepter cette vérification. Cette action donnerait la possibilité aux familles d’infiltrer le fonctionnement de Poudlard et de trouver un coupable parfait, sans doute un né-moldu ou un sang-mêlé. L’information ne doit pas sortir du château, sinon le conseil sera devant les portes dès demain. En réfléchissant à tout cela, Salazar laisse échapper un soupir, avant de reprendre la parole.

« Il ne faut pas agir sous la colère, il faut les faire venir dans la grande salle. On pourra voir qui est absent, puis on déclare l’état d’urgence jusqu’à nouvel ordre. On ferme les portes, plus de sortie, plus de promenade à pré-au-lard et plus de communication avec l’extérieur jusqu’à ce qu’on trouve le coupable. »

Son regard balaye ses collègues et amis, Salazar sait qu’il en faut pas se laisser submerger. Ils ont besoin de temps, cette fois-ci, une erreur pourrait leur coûter l’école.

KoalaVolant

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Il n'y a ni bien, ni mal, seulement le pouvoir et ceux qui sont trop faible pour s'en emparer

KoalaVolant

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