Bloom &
Perceval

Février 927 après Jésus-Christ ~ Pré-au-Lard

Une fête à Pré-au-Lard ? Vraiment ? En vrai, tu ne sais pas quoi penser de ça. Mais tu te dis que c’est un bon moyen de rencontrer de nouvelles personnes. Ou pas. Habillée de circonstance, tu as donc quitté la succursale de pré-au-lard afin de profiter pleinement de cette fête. Cette succursale fonctionne pour le mieux et tu aimes le travail de ton père. Il t’a tout appris, même si tu sais que tu n’en hériteras jamais. Ton frère allait recevoir tout ça alors que tu aurais aimé pouvoir en jouir. Après tout, tu étais l’aînée et il est normal que cela te revienne. Mais tu as fini par plier le genou devant ton père. Mais tu ignores même si ton frère veut reprendre l’affaire familiale ou non. Tu n’as pas vraiment le temps de le voir. Surtout que tu as quitté la maison. Tu as beaucoup trop de mauvais souvenir lié à celui qui était ton aîné et ton oncle. Après quelques heures à rêvasser, tu finis par être bousculé par quelqu’un (@Perceval Peverell).

Tu l’observes quelques secondes alors qu’il s’excuse. Tu lui montres un petit sourire. « — Il n’y a pas de mal, monsieur ! ». Il va en falloir bien plus que ça pour t’offusquer. Il se présente à toi comme étant un représentant de la grande famille Perevell. Tu comprends donc qu’il est membre du Conseil Sorcier et tu inclines la tête afin de lui montrer le respect qui lui aies dû. Ta famille n’a jamais voulu être membre de l’autorité sorcière et ce n’est pas plus mal. Tu ne tiens pas à finir enfermée là-bas. « — Ravie de faire votre connaissance, Monsieur Peverell. Je suis Bloom Ollivanders. Je m’occupe de la succursale familiale de Pré-Au-Lard. ». Tu gardes le sourire. En l’observant de plus près, tu le trouves plutôt bel homme. Bien sûr, tu connais les membres du Conseil puisque que ton père t’a toujours dit de respecter ses personnes. Mais tu es fière de ton métier.

« — Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ? ». Tu gardes le sourire malgré tout et tu n’as rien de cassé. C’est le plus important. Tu ne peux pas t’empêcher de l’observer mais sans faire de gestes déplacés. Cela ne t’empêche pas d’avoir des idées qui n’ont rien de catholique avec lui comme partenaire. Comme à chaque fois que tu croises un homme d’ailleurs. Cependant, tu restes silencieuse et tu ne préfères pas parler de ce qui te passe par la tête. Cela ne serait pas une bonne idée.

Olympéa &
Sybil

Février 927 après Jésus-Christ

La fête battait son plein, vraiment. Tu avais pensé qu’une boisson chaude ferait du bien à ton professeur. Bien sûr, tu ne cries pas sur tous les toits que tu es liée au célèbre fondateur de Poudlard. En général, les personnes qui sont liées de près ou de loin aux Malefoy préfèrent le cacher. Soi-disant à cause de la mauvaise réputation de ta famille. Mais c’est bien un truc dont tu te fiches bien en réalité. Mais tu respectes le fait que personne ne veut reconnaître son affiliation avec ta famille. Et c’est clairement là-dessus que tu joues pour t’en prendre à tout le monde lors de tes bêtises, que tu fais généralement avec ton frère jumeau. Mais bien sûr, il y a une expression qui dit « pas vu, pas pris ». Et la personne qui est avec toi ne se doute même pas que tu puisses être le genre de personne à faire des farces aux autres élèves peu importe leur origine. Bien fait pour eux après tout. Selon toi, c’est bien cherché. Tu montres un petit sourire lorsque ton enseignant (@Salazar Serpentard) prend la boisson chaude avant de l’entendre rire. Ce n’est pas tous les jours que tu l’entends rire de la sorte. Comme quoi, cela fait du bien d’apprendre à connaître les gens en dehors des responsabilités. Ton père, Benedict, ne devait pas être loin puisqu’il a décidé de sortir de sa tour pour l’occasion. « — Quoi ? J’ai le droit de prendre soin de ma famille, professeur ! ». Tu te mets aussi à rire et autant dire que tu apprécies de pouvoir passer du temps à rire loin de ta fonction de Malefoy, loin de ton nom. Alors que tu cesses de rire, tu entends une voix qui te salue et qui salue aussi ton enseignant. Tu te retournes donc et tu reconnais une personne qui t’ait cher, (@Sybil Goyle). Tu lui souris et tu lui réponds à ton tour.  « — Bonjour Lady Sybil !». Tu lui fais une petite révérence. Tu sais que la famille Goyle a fait partie du Conseil des Sorciers avant d’être destitué. Mais tu n’as pas plus de détails.

Tu écoutes avec attention ton mentor. Tu sais que cela fait un moment que tu n’as pas pu aller la voir. Entre tes tâches chez les Moldus et tes devoirs à Poudlard, tu as peu de temps à accorder. Même a ta propre famille. Sauf ton père puisqu’il enseigne l’Astronomie au sein de cette même école. Tu souris et tu finis par incliner ta tête en guise de respect. « — Je vous remercie de votre présence et je promets de passer vous voir dès que je le peux. ». Elle sait que tu n’es pas du genre à raconter des conneries. Surtout que tu lui dois beaucoup de tes connaissances, même si tu préfères ne pas révéler cette vérité. Après tout, même si cela venait à se savoir, cela ne sera qu’une tare en plus au sein de la famille dont tu portes le nom. C’est alors que ton directeur de maison demande l’identité de ton mentor, sans savoir le lien qui t’unit à elle. Tu montres un sourire et tu lèves le regard vers son grand-oncle. Tu te charges de faire les présentations. « — Professeur, je vous présente Lady Sybil, cheffe de la famille Goyle. ». Tu gardes la tête haute et tu vas devoir faire attention à ce que tu dises. Ton enseignant se montre très curieux. Surtout sur la discussion que tu risques d’avoir avec elle. Hors de question qu’il sache que tu as un penchant pour les poisons. C’est la seule information que tu caches même à ta famille, sauf à ton jumeau qui s’en est très vite rendu compte. Et puis, tu racontes tout à ton jumeau. Tu regardes Sybil avant que ton professeur demande ce que pourrait être le sujet de discussion avec toi. Voilà qui te met dans une position délicate, mais tu es maligne et si tu es dans la maison de ton oncle, ce n’est peut-être pas par hasard. « — Voyez-vous, Lady Sybil est une amie de longue date de mère. Il arrive souvent que je serve d’intermédiaire entre elles car mère est souvent chez les Moldus. ». Réalité ou intox ? Allez savoir. Mais parler de ça devant ton directeur de maison est tout sauf une bonne idée. Cependant, cela ne veut pas dire que tu es hors de danger. Quoi que tu dises, il fait partie de ta famille et il finira par savoir. Et autant dire que tu ne préfères pas qu’il le découvre par lui-même. Tu ne veux pas faire perdre des points à ta maison. Tu n’y tiens pas. Puis tu te tournes vers Sybil en gardant le sourire. « — D’ailleurs, Mère vous transmet ses amitiés. ».

Autant jouer le jeu et tu espères que ton mentor le jouera aussi. Tu ne veux tellement pas que ton secret se sache que tu es prête à mentir. Concernant le fait que Sybil soit une amie de sa mère, tu y es peut-être allé fort. Si Salazar pose la question à Benedict, ton père, tu es clairement dans la mouise. Car il s’agit là d’un mensonge et tu vas devoir assumer ce mensonge. Mais jusqu’pà maintenant, tu as toujours assumé tes actes auprès des enseignants, mai aussi auprès de ton directeur de maison. Tu aimerais vraiment qu’il le découvre le plus tard possible. Tu gardes les yeux sur Sybil et tu demandes machinalement. « — Comment se porte votre famille ? ». Tu allais dire douce. Mais les Goyle sont loin d’être doux puisqu’ils ont attaqué une famille moldue et que le survivant s’est retourné contre eux. Preuve qu’il faut s’en mêler et c’est là que ta famille a son rôle…