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Chronologie : Nous passons officiellement en été 927, c'est l'heure des vacances !
Évent : Le chapitre "Il était une fois" dévoile ses surprises à travers plusieurs parties. La Première partie et la seconde partie sont désormais terminées.
Veuillez vous laisser bercer par la troisième partie.
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[Event 2 - Part I] - Il était une fois … (ouvert à Poudlard)

Le Choixpeau
Fondateur, la personne qui va choisir votre destin à Poudlard

Ven 4 Aoû - 22:14

Rappel du premier message :

Il était une fois

Mars 927

Des couloirs sombres, un lieu isolé dans cette école où la notoriété commence à se faire ressentir, même entre ses murs. Ce qui n’était qu’un souffle, une idée il y a plus de huit années en arrière est devenu un lieu envié même par le Conseil des Sorciers. Mais après toutes ses années de tranquillité, les choses sérieuses commencent aussi à sortir de l’ombre. Lieu lugubre, couloirs tamisés par les torches qui arborent les murs, long, droit, et laissant derrière eux une atmosphère morbide. Au loin, des échos, des souffles, des mots inaudibles. L’obscurité s’approche, guettant son étendu dans son propre cercle infini. Une brise hivernale se fait sentir, attirant même des frissons. Les dortoirs sont pleins, les préfets rodent, les professeurs veillent. Mais personne ne se doute de ce qui va se passer. L’heure est une notion relative. En approchant des torches, des ombres se profilent, filant à toute allure loin des champs d’action des membres du personnel. Si vous suivez ces ombres, vous serez emmenés vers le sixième étage. C’est l’endroit favori des élèves pour se réunir, mais à force, cet étage est aussi connu des Fondateurs pour cette même raison. Une fois que vous entrez à l’étage, vous rejoignez ceux que vous considérez comme vos amis. Il est temps d’organiser une petite réunion illégale, les plans sont en marche.

« - Demain, nous passerons à l’action. »
« - Qui est notre cible ? »
« - Un élève de troisième année de la Maison Serdaigle ! »
« - De ma maison ? C’est une blague, J ? »
« - N’oublie pas que c’est un non-maj et qu’il n’a rien à foutre dans l’école. Tu connais les lois tout comme moi, H »
« - Sérieux, vous me faites chier avec vos conneries et vos rappels intempestifs. K, je te rappelle que tu as juré sur la Bible »
« - Pardonnez-moi ! »
« - Bien. Il s’agit de Arés Landcraft. On le piégera lorsqu’il se rendra à la bibliothèque, je sais de source sûre qu’il y passe tout son temps libre. »

Chacun des participants se décidèrent rapidement. Mais personne ne savait que ce qui pourrait être une vaste blague allait entraîner des conséquences irréversibles. Le lendemain, tout était parfait. Le plan était en marche et chacun avait son rôle. Le jeune Arés subit les conséquences de ses origines et ce, parce que le Conseil des Sorciers avait déterminé que les représentants de son espèce n’avaient rien à faire dans cette école. Ou même dans le monde sorcier tout simplement. Mais alors que la farce continue, le petit groupe est surpris par quelqu’un qui devait aussi aller à la bibliothèque. Un duel fuse, le groupe s’en prend à quelqu’un d’autre. Un misérable qui espionnait. Une dans ce cas. Des mots de sorts, des cris, des coups physiques et une chute dans l’escalier arrachant un cri qui paraît pour certains inhumain. Un corps roulant dans les escaliers qui ne lui accorde pas de repos. Lorsque ce dernier finit sa course, le visage est reconnaissable, les yeux fermés et un teint pâle alerte sur l’urgence. Les ombres ont lâchement fui, la honte les poursuit. Mais cet acte risque de mettre le feu aux poudres… La tranquillité de Poudlard est désormais en péril…



Awful pour Epicode


Le Choixpeau
Alohomora

Sophie Chevalley
Élève de 5ème année chez Poufsouffle

Mar 5 Sep - 11:06

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Il était une fois...

Le retour à la réalité quand on se réveillait n’était jamais facile pour Sophie. Si elle était une pile électrique, courant dans tous les sens et transformant le monde en chaos sur son passage, le matin, il ne fallait pas trop lui en demander. Sophie aimait prendre son temps pour ouvrir les yeux et se rappeler le rêve dont elle sortait généralement au moment de son réveil. Son cerveau mettait toujours un moment à se connecter et elle avait l’impression d’entendre un charabia informe lui parvenir aux oreilles. Elle croisa le regard d’une de ses camarades de chambre posé sur elle, qu’elle regarda sans vraiment sembler savoir ce qu’elle disait.

« Hmm… ? »

Sa camarade insista, lui intimant de se lever, affirmant qu’ils étaient convoqués d’urgence dans la Grande Salle. Le simple fait que Sophie ait réussi à comprendre ce message tenait déjà du miracle. La seule chose qui lui vint en tête n’avait rien de commun avec l’urgence qui était mentionnée.  Mais il fallait dire aussi que la fillette n’était pas encore complètement réveillée.

« Il y aura à manger ? »

Sa camarade semblait osciller entre l’amusement et l’agacement. Sophie se força à se lever et à enfiler son uniforme maladroitement. Elle boutonna un bouton sur deux et mis sa veste à l’envers, mais elle fut prête en moins d’une minute, ce qui tenait déjà du miracle. Sa camarade l’attrapa par la main et l’entraîna vers la sortie de la salle commune. Sophie se laissa entraîner en baillant, avec l’enthousiasme d’un escargot en hypoglycémie, mais elles suivirent le flot d’élèves qui convergeaient vers la Grande Salle.

Sophie fut ravie de voir que le petit-déjeuner était installé sur les tables et elle piqua nonchalamment un petit pain au chocolat. Mâcher consciencieusement était à sa portée et les glucides commencèrent à la ramener à la réalité. Elle ne savait pas trop ce qui se passait, mais toute l’école semblait être là pour une raison quelconque. Elle se versa une tasse de thé et la but discrètement, debout, au milieu de ses camarades, en attendant la suite des évènements et de savoir ce qu’ils faisaient tous là.





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[Event 2 - Part I] - Il était une fois … (ouvert à Poudlard) - Page 2 Cl7110
Sophie Chevalley
Alohomora
Invité
Invité

Dim 17 Sep - 14:52

Il était une fois...
Event
Je relevais le regard du chaudron en entendant de l’agitation au loin… A cet heure-là, il n’y avait habituellement encore quasiment personne… Il était encore tôt et la plupart dormait toujours. Je m’étais levée plus tôt pour rejoindre mon petit lieu secret que j’avais découvert il y a peu, l’endroit parfait pour pouvoir préparer mes expériences à l’abri des regards. Masqué aux regards de tous, je trouvais le calme et la discrétion que je recherchais tant ici. En principe, je ne risquais pas d’être dérangée, du moins jusqu’à aujourd’hui. Un cri avait résonné et je sentais mes muscles se crisper un peu plus. J’abandonnais ma potion alors que des bruits de pas couraient rapidement dans le couloir. Curieuse, je sortais sans bruit de la salle sur demande, percutant de plein fouet une silhouette qui partait à l’opposé des cris. Je n’avais pas eu le temps de le voir que je perdais aussitôt l’équilibre sous le choc et tombait en arrière. Un marmonnement passait mes lèvres tandis que je me redressais en me massant le coude qui avait heurté le sol, jetant un regard assassin à la silhouette qui s’enfuyait sans la moindre excuse. Pour être aussi malpoli, ça ne devait qu’être un né-moldu. Je ne pouvais qu’y supposer, je n’avais même pas eu le temps de voir son visage.

Un soupir passait mes lèvres puis je traversais le couloir pour prendre la direction des escaliers où j’avais cru entendre un cri. La voix d’un professeur se faisait entendre et je me penchais légèrement pour observer ce qu’il se passait au dessous. Quelqu’un semblait être tombé dans les escaliers… Ou avait été poussé plutôt ? Je me rappelais la silhouette qui m’était rentré dedans et semblait avoir fuit la scène. Est-ce qu’elle allait bien au moins ? J’arrêtais aussitôt de me pencher pour observer plus bas en entendant une annonce qui demandait à tout les élèves de rejoindre la Grande Salle. Mon cœur s’accélérait soudain un peu plus encore dans ma poitrine, je n’avais pas la moindre envie qu’on me retrouve ici et de me retrouver accuser à la place d’un né moldu. Malgré l’inquiétude qui me rongeait pour la silhouette que j’avais aperçu plus bas, je commençais aussi maintenant à m’inquiéter pour moi. Cette fois je n’avais rien fais. Sentant mes joues se rougir sous la pression, je rejoignais rapidement un groupe de gryffondor pour rejoindre la Grande salle en me faisant le plus discrète possible malgré les quelques regards curieux qui se posaient sur moi en voyant une serpentard se mêler à eux pour descendre et rejoindre tout le monde.

Une fois à destination, je quittais enfin le groupe que j’avais suivi pour rejoindre ceux de ma maison et soufflais dans un murmure à l’une de mes amies :

▬ Les nés moldus nous attaquent…

Elle écarquillait les yeux, essayant de voir si je blaguais, ou si j’étais sérieuse… Et cette fois je n’avais pas l’air de plaisanter, je sentais encore ma respiration se faire rapide sous le stress que je ressentais. Et si j’étais la prochaine à y passer ? Mon père n’allait pas apprécier ça quand il l’apprendra… C’était certain. Il allait faire un scandale.


© Laueee
Anonymous
Alohomora
Invité
Invité

Mar 19 Sep - 13:19


C’est sans surprise que la scène se peuple rapidement après l’appel passé par Helga. Concentrée sur Olympea, elle ne la quitte du regard qu’un instant, celui de faire un petit « non » de la tête reconnaissant à Rowena quand celle-ci s’enquit d’elle. Elle parle à la jeune femme, tâchant de déterminer son niveau de conscience, jusqu’à ce qu’Alistair prenne la relève, qu’Helga lui donne avec soulagement. En effet, qui de mieux que le médecin de l’école pour gérer une élève blessée ? Abandonnant avec confiance l’élève au mari de son ami, Helga se redresse, ayant besoin d’un moment pour faire le point, afin d’être à même de transmettre ses idées et ses points à ses collègues. Pour elle, tout va se jouer dans les minutes qui suivent, et s’il y a bien un élément qui est totalement absent de ses préoccupations, c’est bien le conseil, auquel ses amis et collègues ont la fâcheuse de tendance à tout ramener. « Bien sûr que si nous allons contrôler les baguettes. Il ne s’agit pas ici de ce que le conseil nous donnera sa bénédiction de faire ou non, il s’agit de ce qui doit être fait. En l’occurrence, des sortilèges offensifs ont été utilisés dans les couloirs de l’école en dehors de tout cadre réglementaire. C’est une infraction à notre code intérieur. Notre unique responsabilité dans ce cas est de tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables. Vous vous souciez de ce que pense le conseil ? Je me soucie plus du fait que nos élèves puissent arpenter l’école en se disant qu’ils peuvent s’agresser les uns les autres sans aucune répercussion. » Son ton est froidement décidé, froidement pragmatique, alors qu’elle dévisage tour à tours les fondateurs. « Si je venais de commettre ce forfait, je n’essaierai pas de me cacher. Je me fondrai dans la masse. Bien sûr que nous chercherons les retardataires, mais il est possible que les belligérants soient déjà dans la grande salle. J’ai entendu des insultes au sang être proférées. Je suis à peu près sûre qu’Olympea est un dommage collatéral. Rejoignons les élèves et les préfets, et procédons à la vérifions des baguettes, vous savez que c’est ce que nous devons faire… » Se voulant moins autoritaire, elle reprend, plus douce, mais toujours aussi convaincue. « C’est un incident de crise qui va déterminer pour longtemps l’image que nous allons donner de notre école… Je refuse de donner l’image d’une fondatrice qui tolère ce genre de comportement… » Elle espère qu’il en ira de même pour ses collègues…

Anonymous
Alohomora
Kayle Ollivanders
Membre d’une riche famille de sang-pur

Lun 25 Sep - 0:16





Il était une fois






 
Kayle & Poudlard
 

 La nature de chaque individu peut être plus ou moins méprisable, tout dépend de ses choix ou des décisions qu’il prend. Certains préfèrent jouer sur la prudence et d’autres s’embourbent dans la bêtise la plus profonde. Malheureusement, on ne sait jamais sur quel genre de personnes l’on va tomber. Pour ta part, tu avais toujours fait en sorte de te méfier, d’être dans une forme d’indifférence complète... Du moins, était-ce l’apanage de ta vision des choses. Qui aurait cru que tu aurais été témoin d’une scène aussi pitoyable... Evidemment, tu avais su te montrer suffisamment discrète pour que personne ne te voit ni te sente... Sérieusement, qu’est-ce que c’était que cette démonstration ridicule... Les cris, les sorts, la chute... et Olympea qui était un dommage collatéral car elle s’était faite prendre en train de regarder. Un grincement de dents intérieur hurlait de s’échapper alors que tout ceci vint à prendre une ampleur considérable...  

Parvenant à te frayer un chemin en dehors de tout ce remue-ménage, tu avais suivi les ordres et tu t’étais rendue dans la grande salle. Deux possibilités s’offraient à toi... La franchise comme à ton habitude ou le silence, qui allait à l’encontre de ce que tu étais. Par ailleurs, plusieurs facteurs étaient à prendre en considération... Le premier était que l’un des agresseurs avait suffisamment de poids pour nuire à ta famille, l’autre était que la famille Malefoy avait mauvaise réputation... D’ordinaire, tu n’aurais pas attendu avant d’aller voir Salazar et lui faire part de ce que tu avais vu. Néanmoins... Tu étais tiraillée par ces deux éléments qui t’empêchaient d’agir.

Une fois dans la Grande Salle, tu préférais t’emmurer dans un mutisme profond. Ce qui vint à surprendre certains de tes “amis” qui te regardaient d’un air un peu intrigués. Habituellement, tu aurais commencé à faire du sarcasme ou tentée de détendre l’atmosphère mais là... Rien ne sortait de ta bouche. Tes bras croisés sous ta poitrine alors que ton regard était ailleurs, les songes se succédant dans ton esprit alors que tu commençais à te questionner... Comment réagir ? Que faire ? Tout ce que tu avais vu... pouvait te retomber dessus. Il valait mieux jouer la carte de la précaution et attendre que l’enquête soit ouverte... Un témoignage anonyme serait plus sûr plutôt que de divulguer ouvertement ces informations... Même si intérieurement, tu étais en proie à de nombreux remords pour ta comparse serpentard... La réputation de ta famille était en jeu... et l’un des agresseurs avait les outils nécessaires pour faire chanter les Ollivanders...
.




By Feloe

Kayle Ollivanders
Alohomora
Elisabeth C. Greengrass
Élève de 7ème année chez Gryffondor

Sam 14 Oct - 17:49

Elisabeth &
Tout le monde

Once upon a time…
Février 927 après Jésus-Christ, Poudlard, Grande Salle

Tu te trouvais dans la Salle Commune lorsque tu entends la voix d’un des quatre fondateurs. À vrai dire, tu as eu beaucoup de mal à l’identifier. Mais tu lèves la tête lorsque tu entends cette voix. Froide, tranchante… ce n’est pourtant pas la voix habituelle de la Directrice de la maison Poufsouffle. Mais cela ne veut dire qu’une seule chose : il se passe ou il s’est passé quelque chose de grave. Ni une, ni deux, tu attrapes ta cape que tu places de suite sur le dos. Tu avais bien entendu la soudaine convocation de la fondatrice. Pourtant ton emblème de maison et de rôle, tu regardes ton homologue masculin et tu lui demandes ce qui se passe. Bien entendu, il semble être aussi inquiet que toi et surtout, il n’en sait pas plus que toi. Autant dire que tu n’aimes pas ça et tu ressens un mauvais pressentiment. Pourtant, tu quittes rapidement la salle commune de Gryffondor afin de rejoindre le sixième étage comme demandé par l’enseignante de Potions. Bien sûr, tu es avec ton confrère les premiers à rejoindre la noble dame Poufsouffle. Tu regardes autour de toi et tu vois le corps de la jeune élève et tu évites de te laisser déstabiliser. Ce n’est pas le premier corps que tu vois, mais cela ne t’empêche pas de regarder ton homonyme avec un air inquiète. Ce dernier semble devenir aussi bléme. Tu gardes ta prestance et tu poses le regard sur celle qui a pris le temps de regrouper l’ensemble des préfets de l’école. Rapidement, les consignes tombent et tu devais regrouper l’ensemble des Gryffondors dans la Grande Salle. Tu hoches la tête. « — Oui, Professeur ! ». Tu ne pouvais rien dire de plus alors que t’éloigner accompagné des autres préfets de l’école. En discutant une minute ou deux, vous vous répartissez les étages et les lieux de Poudlard afin de prévenir tout le monde. Ayant pris acte de ton secteur, tu te mets en route vers les étages donnés, mais tu vas commencer par ta salle commune. Tu vas devoir fouiller toutes les pièces et les dortoirs afin que tout le monde soient dans la Grande Salle alors que la situation n’a vraiment rien de normal.

Tu prends le temps qu’il faut afin de trouver un maximum d’élèves. Étonnamment, même lorsque tu annonces la réunion. Bien sûr, tout le monde semble avoir entendu l’annonce de la Directrice. Pourtant, tu ne t’arrêtes pas et tu continues à faire les étages et à fouiller toutes les salles que tu peux ouvrir. Tu ne pouvais pas laisser des élèves se balader librement alors que l’un des quatre fondateurs et directeurs de l’école avait demandé à ce que tout le monde soit regroupé dans la Grande Salle. Vu le ton dont elle a fait preuve, tu sentais que cela n’allait pas être une bonne nouvelle. Une fois que tu as fait le tour, tu finis par rejoindre les autres devant la Grande Salle. Tu discutes trente secondes avec eux avant que l’un d’entre eux se sépare allant rejoindre les Directeurs. Pour ta part, tu rejoins tes camarades et tu les entends les uns des autres te demander ce qui se passait. Tu regardes ton homonyme et ceux des autres maisons avant de dire que tu ne sais encore rien. « — Je ne suis au courant de rien pour le moment. ». Tu devais garder les apparences, même si cela reste peu agréable. Bien sûr, tu connaissais l’existence de la violence anti-moldus et les impures comme certains les surnommaient, mais là, ce n’était plus question de sang. Car c’est un sang pur qui a été touché cette fois-ci. Cela t’inquiète, mais tu gardes la tête haute. Tu aides les autres préfets à contenir les élèves. Cela s’agite forcément, mais c’est aussi ton rôle d’essayer de les calmer. Mais comme tout le monde, tu devais patienter, tu devais attendre les quatre directeurs de l’école alors des murmures ne cessent de grandir se transformant en paroles inquiétantes. Mais comme tout le monde, tu devais patienter. Tu entends de tout, mais tu devais garder ton sang-froid alors que tu discutes avec ton collègue de Serdaigle pour lui demander. « — Est-ce que tu sais ce qui se passe ? ». Aucune réponse de sa part, il doit être aussi perdu que toi…
@ tout le monde— Pando — 720 mots

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☽ Deadly Flower ☽
It seems that I'm not worth it, I'm already wearing the trouble, yes. The demons that manhandle me, bring me back to what I don't want.

Elisabeth C. Greengrass
Alohomora
Rowena Serdaigle
Fondatrice de Poudlard, Directrice de la maison Serdaigle et Professeure de Sortilèges

Sam 14 Oct - 19:32

Rowena &
tout le monde

Once upon a time...
Mars 927 après Jésus-Christ, Poudlard

Tu te tenais auprès de tes amis et fondateurs. Cette situation t’inquiéte, même si cela ne se voit pas directement. Pourtant, si tu croises le regard de tes trois amis et ton époux, eux comprendront que cela t’affecte. Tu ne t’attendais clairement pas à ce que cela se produise. Voilà de quoi éveiller ta méfiance. Tu n’es pourtant pas si méfiante normalement, mais avec cet évènement, tu vas devoir rester calme et tu vas devoir y réfléchir sérieusement avec l’aide des trois autres cerveaux qui dirigent l’école. Tu n’es pas la seule impactée dans l’histoire. Tu as fondé cette école avec trois autres personnes et il est hors de question que tu fasses marche arrière. Tu sais que tu ne peux plus le faire. Tu assumeras ce qui s’est passé, même devant le Conseil des Sorciers si tu le devais. Godric finit par rejoindre le trio et tu poses le regard sur lui. Ce dernier pose une question et tu le regardes afin d’y répondre. « — Helga les a fait venir pour leur transmettre les consignes. ». Pour le moment,  ce ne sont que des consignes, mais il n’est pas impossible que cela devienne autre chose. Tu observes Helga et tu pries en silence pour que ton mari arrive rapidement. Tu n’aimerais pas devoir annoncer la mort de quelqu’un ici. Encore moi l’enfant d’un enseignant. Tu le recherches du regard et pour le moment, tu ne remarques pas la présence du concerné. Ce n’est que partie remise, car tu sais qu’il risque de mal le prendre. Sa fille a quand même été agressée dans l’enceinte de ce château et cela va forcément te porter préjudice à toi et les autres fondateurs. Idée qui t’enchante guère. Vraiment.

Heureusement, tu finis par apercevoir Alistair et tu attrapes Helena lorsque cette dernière descend du dos de son père, ton époux. Tu tentes de montrer un sourire à ce dernier, mais il comprend bien vite que cela n’est qu’une façade. Tu gardes Héléna dans les bras le temps que son époux ausculte la jeune femme qui est encore inconsciente. Le temps te paraît être une éternité, le temps qu’Alistair l’ausculte et tu as l’impression que ton cœur va exploser. Tu te dois de garder le sourire pour ta fille, mais tu ne sais pas comment tu réagirais s’il arrivait malheur à Héléna. L’annoncer à Benedict va probablement se révéler plus compliqué que prévu. Même si tu es la mieux placée pour le faire en raison de ton statut de maman. Ton mari s’attèle au travail et tu déposes une main rassurante sur l’épaule de ce dernier lorsqu’il s’occupe des plaies visibles de la jeune élève appartenant à la maison de son ami, Salazar. Puis, il se montre rassurant et tu lâches un soupir avant de porter un regard à ton bien-aimé. Tu sais maintenant qu’il va avoir beaucoup de travail et que tu vas devoir t’occuper de ta petite Héléna. Tu déposes un baiser sur le front de ta puce avant de la lâcher et de la faire marcher alors que tu lui tiens la main. Tu n’as jamais eu peur de montrer ton amour à ta fille devant les autres fondateurs. Tu regardes ta trois collègues avant de les écouter. Tu ne dis rien, mais tu réfléchis. Au point où vous en êtes, vous ne pouvez pas vous permettre de faire n’importe quoi.

Tu entends d’abord Salazar parler. Ce dernier semble perdu et de ton autre main, tu déposes cette dernière sur l’épaule de ton ami. Tu as toujours été un soutien pour l’ensemble des quatre. Tu veilles sur lui, même s’il ne l’avouera jamais. Tu es toujours là pour recoller les morceaux lorsqu’ils se disputent entre eux. Puis, il tourne le regard vers toi, vers les autres Fondateurs en disant qu’on ne peut pas vérifier leur baguette. Tu restes silencieuse et tu réfléchis. Tu ne peux pas en vouloir à tes amis de vouloir faire les choses correctement et surtout à salazar de vouloir protéger l’école de l’influence du Conseil. Ou plutôt de l’appropriation du Conseil. Mais tu es déterminée à ne pas les laisser faire. C’est ton école, au même titre que celle de tes trois amis. Tu hoches la tête concernant l’état d’urgence au sein de l’école. Puis Helga prend la parole par la suite. Cette dernière veut faire analyser toutes les baguettes. En soi, tu réfléchis encore et tu écoutes avec attention tout ce qui est dit. Après que ton ami potonniste ait pris la parole, tu n’hésites pas à faire de même.

« — Je suis d’accord avec Helga. Le Conseil n’a rien à dire. Surtout que la personne impactée ne dépend pas d’une famille appartenant au Conseil.». Tu es d’accord avec Helga sur le fait que tu refuses de laisser croire que tu vas accepter que cette agression passe inaperçu. « — Cependant, pour contrôler les baguettes, nous allons devoir faire appel à un expert en la matière. Confisquons les baguettes jusqu’à ce que l’expert soit passé. Accordons-nous à leur préparer des examens blancs le temps de leur rendre ce qui leur appartient. ». Et tu te fiches bien de l’avis des élèves et des membres du Conseil. Cette école, c’est la tienne et celle des Fondateurs. Tu lâches un soupir avant de dire simplement.  « — Je passe devant et je m’occupe des élèves en attendant que vous me rejoigniez sur place. ». Tu hoches la tête. Une partie des sanctions ayant été décidé, il ne reste plus qu’à s’occuper à l’annoncer des élèves. C’est d’ailleurs au même moment qu’un préfet en chef de ta maison te rejoint et tu poses le regard sur lui. Il annonce que tous les élèves ont été regroupés. C’est parfait. Tu lui fais signe de passer devant et tu le suis en gardant la main de ta fille. Tout le monde sait que tu es mère d’une petite fille et il n’est pas rare de la voir dans les coursives de l’école. Tu souris de manière rassurante à tes collègues avant de sortir de leur champ visuel. Tu devais assumer tes responsabilités de Directrice et Fondatrice. La marche vers la Grande Salle te paraît long et tu te sens de plus en plus nerveuse. Pourtant, tu devais te montrer calme. Tu arrives devant la Grande porte et tu serres la main de ta fille en lui souriant. Alistair étant occupé avec la victime, tu devais protéger et veiller sur ta fille.

Tu attrapes ta baguette et tu ouvres la porte de la Grande Salle et le préfet en chef rejoint ses confrères. Tu places ta baguette sur ta gorge et tu lances un Sonorus. « — SILENCE ! ». Tu voulais du calme. Tu marches entre la table des Poufsouffle et la table de Gryffondor tout en regardant les élèves un à un. Tu sembles moins stressée. Tu progresses alors que tu arrives jusqu’à la table en bois des Professeurs. Tu vois de nombreux visages du corps professoral de l’école et du personnel. Tu avais engagé toutes ses personnes. Tu cherches encore tes mots avant de monter les quelques marches. D’un coup de baguette, tu fermes les portes de la Grande Salle. Tu avais annulé le sortilège de voix afin qu’on se concentre sur toi. « — Je demande au corps préfectoral de s’avancer vers moi ! ». Pas le choix puisque tous ceux qui portent l’étoile vont devoir mettre la main à la pâte. Tu regardes ta fille et tu lui lâches la main, lui permettant de vagabonder dans la Grande Salle. Tu comptes garder un œil sur elle. Puis tu tournes le regard vers tout le monde. Tu allais devoir prendre la parole. Tu sens que la tension est palpable, mais c’est comme ça. « — Aujourd’hui, une de vos camarades a été agressée au sein de notre école. Les autres fondateurs et moi-même n’approuvons pas ce genre d’incident dans notre établissement. Et jamais, cela ne sera toléré. Bien que nous ignorions les détails exacts de l’incident, nous avons pris la décision de placer l’école en état d’alerte maximum. Cela sous-entend bien sûr des règles supplémentaires. À compter de maintenant, les portes de l’école seront fermés, les sorties annulées et les communications avec l’extérieur coupées et ce, jusqu’à ce que les détails de cet incident soient découverts. Seules les vacances seront autorisés. Mes collègues fondateurs et moi-même allons mettre les bouchées doubles pour que cet acte soit condamné et que votre camarade puisse réintégrer notre école en toute sécurité. Si certains d’entre vous ont vus quelque chose, je vous demande de vous tourner vers votre directeur de maison. ».

Tu n’aimes vraiment pas cette situation, mais tu n’as pas le choix. Mais cela n’est pas encore fini. Tu entends les protestations et tu restes silencieuse le temps que cela se calme. Tu n’aimes pas prendre ce genre de décision, mais tu le fais aussi pour la sécurité des élèves. Officiellement, on ignore encore que l’agression vient de quelqu’un de l’intérieur. Alors, pas de risque inutile. « — Cet état d’urgence va entraîner une modification de règles dont vous avez déjà connaissance par le biais de notre règlement intérieur. Les préfets devront assurer avec l’aide du personnel un cycle de tournée plus fréquent et plus aléatoire, le couvre-feu commencera désormais à la fin de vos cours et s’effectuera obligatoirement dans votre salle commune. Pour ceux qui souhaitent travailler à la Bibliothèque, ce seront à vos directeurs de maison de vous fournir cette autorisation. Concernant les clubs, les horaires seront aménagés de sorte à ne pas se dérouler durant les heures de couvre-feu. Ceux qui sont déjà en retenue recevront une autorisation de l’enseignant assurant les retenues. ». Mais même pour toi, cela veut dire plus de travail. Tu sais déjà que nombreux sont ceux qui viendront te réclamer l’autorisation de se rendre à la bibliothèque afin d’y étudier ce qui s’y trouve. Mais tant pis. C’est un mal pour un bien et bien entendu, les fondateurs et le personnel sont les seuls à ne pas être concernés par ses mesures. « — Je peux comprendre que ces mesures peuvent vous gêner, mais sachez que les autres Fondateurs et moi-même faisons ce qui est en notre pouvoir pour assurer votre sécurité et veiller à ce qu’un incident de ce type n’arrive plus jamais dans l’enceinte de notre école, de votre lieu d’apprentissage.  ». Au fond de toi, tu avais hâte de voir les autres fondateurs et surtout que l’ensemble est d’accord avec ce qui avait été dit dans les couloirs. Mais tu ne préfères pas en parler, tu ne préfères pas le dire vu que tu ignores si l’accord a été validé par tout le monde. Mais tu sais que cela ne devrait pas tarder. Tu dois juste faire preuve de patience. En attendant, tu regardes tous les élèves avec tendresse et tu te devais de répondre à leur question. Tu prends une grande inspiration. « — Est-ce que vous avez des questions ? ». Tu ne dois pas oublier de dire aux deux messieurs Malefoy de se rendre à l’infirmerie pour aller y voir Olympéa, qui est cette malheureuse victime.
Ft. Tout le monde — Pando — 1872 mots
Rowena Serdaigle
Alohomora
Invité
Invité

Sam 14 Oct - 21:12

 
Once upon a time...



Il était encore tôt ce matin-là, mais, à peine habillée, la jeune fille fut prévenue qu'il se passait quelque chose. Et pour cause, la directrice demandait aux préfets de réunir les tous les élèves dans la Grande Salle, car l'affaire était grave : une élève avait été agressée dans les couloirs. Cela préoccupait beaucoup la Poufsouffle, qui, du fait de sa position, devait prendre la situation en main.

En quelques mots concis, elle répartit les différentes zones de Poudlard, dans lequel les préfets de sa Maison devraient chercher tous les membres de leur Maison ; puis elle les recompta tous avec une certaine nervosité. Ils étaient tous là ; aucun ne manquait à l'appel. Ils gagnèrent enfin, en rang discipliné, la Grande Salle, où tous furent soigneusement regroupés, à l'instar de tous les autres. En vertu de son rang de Préfète-en-Chef, elle devait paraitre calme et posée, mais la vérité était que Katarina n'en menait pas large. Il serait légitime, si l'agresseur se trouvait à Poufsouffle, d'endurer une punition ou même un renvoi, car elle était responsable, d'une certaine manière, de ceux qui transgressaient la règle, et la jeune Sang-Pur déglutit péniblement, tandis que Dame Rowena Serdaigle demandait au corps préfectoral de s'avancer dans sa direction.
Évidemment, la damoiselle n'y faisait pas exception, et se dirigea avec docilité en direction des Fondateurs et des Professeurs, pour faire face aux autres élèves.

La tension semblait s'accentuer ; mais ce n'était encore rien comparé aux mouvements anxieux qui parcourut l'assemblée des jeunes sorciers lorsqu'on leur annonça les sanctions prévues. A dire vrai, la Poufsouffle était plutôt d'accord avec les mesures d'urgence adoptées, puisque l’École se devait d'être irréprochable, sûre et d'une grande exigence , mais elle ne parvenait pas à comprendre en quoi couper les communications avec le monde extérieur arrangerait les choses. Son père serait fou furieux, par exemple - et c'était sans compter les autres jeunes filles et les enfants, dont les parents ne supporteraient pas le silence. L'inverse était également vrai : pouvait-on demander à un enfant de onze ou douze ans de vivre sans pouvoir écrire de lettres à sa mère ?

Néanmoins, la Abbot n'osa évidemment pas émettre un commentaire. Elle se contenta de regarder les contestataires avec sévérité, avant de se reconcentrer attentivement sur les nouvelles consignes qui étaient données. Ainsi, elle devrait organiser plus de rondes, il faudrait veiller plus tard et mieux couvrir l'école, avec plus de méthode, et s'apprêter à escorter les élèves jusqu'à la bibliothèque.
Il serait certainement exclu de se rendre à la salle-de-bain des Préfets probablement - mais cela ne dérangeait pas Katarina.
Si elle-même ne respectait pas l'esprit de la consigne, alors quel exemple donnerait-elle ?

Enfin, Dame Serdaigle finit par se taire, en offrant de répondre aux question, mais la Poufsouffle n'osait pas poser la sienne. Elle avait peur de paraitre remettre en question le système - mais il faudrait les exposer à sa directrice de Maison dans le privé. Cela ne pourrait pas attendre, car elle-même devait se préparer à faire face aux hordes d'élèves probablement aussi fâchés qu'angoissés.
C'était pourquoi elle afficha une mine presque sereine - ce qu'elle ne ressentait absolument pas en son for intérieur.


Codage par Libella sur Graphiorum
Anonymous
Alohomora
Salazar Serpentard
Fondateur de Poudlard, Directeur de la maison Serpentard et Professeur de défense contre les forces du mal

Dim 15 Oct - 1:28

Est-ce que tu vas bien ?  

Finalement, c’est arrivé, le Serpentard savait que tout ceci ne pouvait pas durer encore longtemps. Poudlard est à l’image de la société, c’était une question de temps avant qu’une agression n’arrive. Cependant, Salazar espérait secrètement, que cela n’arrive que dans quelques années. Cet événement ne peut pas tomber à pire moment, grâce à Circé le professeur sait que le conseil est sur les nerfs. La situation entre les moldus et les sorciers se dégrade, on compte de plus en plus de gens brûlés pour sorcellerie. Cela crée encore plus de différences entre les sang-purs et les nés-moldu, ce n’est qu’une question de temps pour que tout éclate comme c’est le cas dans l’école. Finalement, Salazar regarde la scène en tant que spectateur. Même s’il possède le rôle de fondateur comme ses amis, il remarque que son impact sur l’école est moindre. Il s’éloigne de quelques pas, alors qu’il a l’impression que les autres ont décidé de ne pas écouter ses mises en garde.

Salazar n’avait pas l’idée d’aider le conseil, mais il sait que si la vérification des baguettes est réalisée, ils vont s’insurger. L’excuse qu’un sang-pur n’en blesserait pas un autre va être utilisée, ce qui risque de rajouter de l’animosité. Le professeur aurait été pour faire les choses de façon plus discrète, mais il semble que ses amis ne soient pas du même avis. Finalement, Salazar observe les personnes fourmiller autour de la scène. Le stresse, la culpabilité de n’avoir pas pu arriver à temps, la solitude, tellement de sentiments s’entrechoquent dans son esprit. C’est dans ce genre de moment, que Salazar remarque qu’il y a quand même une distance entre ses amis et lui. En même temps, il ne peut pas leur en vouloir étant donné les croyances du Serpentard. C’est pour cela, que les membres du personnel de Poudlard se tournent vers ses amis, Salazar n’a pas la meilleure réputation.

En voyant Rowena s’en aller, le Serpentard décide de suivre sans dire un mot de plus. Une fois arrivé au niveau de la grande salle, il reste en retrait. Adossé au mur à côté de la porte, il écoute son amie expliquer aux élèves les nouvelles mises en place. Un léger sourire aux lèvres apparaît chez le professeur, en entendant que la Serdaigle a entendu sa proposition de fermer l’école. Même si ce n’est que temporaire, cela leur permettra de pouvoir gérer les choses de façon plus discrète avant l’arrivée des fauves. Son regard se promène par la suite sur les élèves, son sourire s’est effacé et un air plus sérieux se présente. L’un de ses élèves est coupable, finalement il est juste la victime d’une éducation trop difficile.

Depuis son altercation avec Helga, Salazar se demande certaines fois si ses paroles n’ont pas une part de vérité. Salazar est lié aux sang-purs, sa présence leur fait peut-être croire qu’ils peuvent se comporter comme leurs parents dans l’enceinte de l’école. Même si Salazar sait que son nom a permis de garder le conseil éloigné de Poudlard, l’agression de Olympea va leur permettre de se mêler des affaires de l’école. Un léger soupir s’échappe de ses lèvres, il regarde la salle les bras croisés. Finalement, le professeur décide de quitter la salle. Il se dirige vers la volière pour envoyer un message à  @Circe Black, afin qu’elle le rencontre à leur point de rendez-vous. Après cela, Salazar quitte les murs de Poudlard pour se diriger vers la lisière d’une forêt de l’Angleterre. Les fondateurs doivent se préparer à l’arrivée du conseil, mais grâce à Circé le Serpentard pourra savoir quand ils vont passer à l’action.




KoalaVolant

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Il n'y a ni bien, ni mal, seulement le pouvoir et ceux qui sont trop faible pour s'en emparer

KoalaVolant
Salazar Serpentard
Alohomora
Sophie Chevalley
Élève de 5ème année chez Poufsouffle

Ven 20 Oct - 16:17

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Il était une fois...

Sophie bailla fortement en mâchonnant son pain, ce qui offrit aux personnes les plus proches d’elle un point de vue inimitable sur la nourriture mâchée dans sa bouche. Mais ça n’avait pas tellement d’importance, parce que tout le monde se demandait ce qu’ils faisaient là. Il y avait donc peu de risques pour que quelqu’un regarde sa bouche à ce moment-là. Bien entendu, c’était possible, mais tant pis si c’était le cas. Sophie ne s’était jamais vraiment souciée de ce qu’on pensait d’elle. Ce ne serait qu’une exaction de plus à mettre sur le compte de son indocilité et de son manque de convenance.

Le professeur Serdaigle entra soudain dans la Grande Salle et les murmures s’intensifièrent. Sophie ne voyait pas ce qu’il se passait, donc elle déposa son petit-pain à-moitié mangé et grimpa sur un banc. Même ainsi sa tête atteignait tout juste celle des grands qui se trouvaient devant elle. La professeure imposa le silence et s’avança, regardant à gauche et à droite. Sophie s’accroupit pour se dissimuler derrière les élèves plus grands, elle ne voulait pas attirer sur elle les foudres du professeur Serdaigle parce qu’elle était debout sur un banc. Mais elle croisa le regard de la petite Helena qui gloussa. Sophie lui fit un sourire complice et un clin d’œil.

Mais son regard se fit plus grave lorsque l’enseignante annonça que quelqu’un s’était fait agresser. Elle rechercha aussitôt les membres de sa famille dans la foule, sans pouvoir tous les voir. Elle espérait que ce n’était pas l’un d’eux, mais comment en être sûre. Elle écouta d’une oreille un peu distraite les nouvelles règles mises en place. Il était évident que les choses allaient être plus compliquées et le fait de ne pas pouvoir sortir allait compliquer les choses. Mais elle n’était pas vraiment concernée. Du moins, elle ne se sentait pas concernée. La seule chose à laquelle elle pensait était d’aller aider Monsieur Serdaigle. Elle leva la main et parla quand on le lui permit.

« Professeur ! Je suis régulièrement en soutien à l’infirmerie. Est-ce que je peux aller aider Monsieur Serdaigle, s’il vous plaît ? »



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[Event 2 - Part I] - Il était une fois … (ouvert à Poudlard) - Page 2 Cl7110
Sophie Chevalley
Alohomora
Henry Greengrass
Membre d’une riche famille de sang-pur

Mar 14 Nov - 17:58


Il était une fois


La journée avait commencé de façon plutôt simple, Henry s’est levé et a préparé ses affaires pour ses cours. En réalité, quand l’agression s’est passé, le jeune homme n’était pas dans cette partie du château. C’est pour cela, que c’est très surpris qu’il a suivi le mouvement quand les élèves ont été appelés dans la grande salle. Sur le chemin, il a tenté de comprendre ce qui se passait, mais il a réussi à n’avoir que des brides d’informations.

En apprenant qu’une agression avait eu lieu, il a espéré que cela ne concerne pas  @Calypso Greengrass,  @Katarina Abbot ou  @Elisabeth Carrow. Pendant un moment, le stresse s’est emparé du jeune homme. Alors, qu’il marche avec des camarades, il apprend qu’il s’agit d’une élève de Serpentard. Pendant quelques instants, il a eu peur que la victime soit sa cousine. Henry presse le pas pour arriver dans la salle plus rapidement, il est tiraillé par la peur, mais aussi la culpabilité pour ne pas l’avoir protégé. Quelques jours avant cela, il a vu Calypso et il lui avait promis de la protéger des problèmes. Une fois arrivé dans la salle, avant de rejoindre sa maison, il commence à chercher sa cousine. Finalement, c’est légèrement frustré qu’Henry a dû rejoindre sa maison sans savoir comment se porte calypso.

Alors que la directrice de Serdaigle entre dans la salle pour faire un discours, le jeune Gryffondor sent le malaise l’envahir de plus en plus. Il sert ses poings, afin d’essayer de contrôler ses émotions. Cependant, il aimerait savoir qui est la victime de cet acte affreux et violent. Alors qu’il observe autour de lui, il arrive à repérer une personne qu’il connaît. Discrètement, Henry se déplace entre ses camarades pour atteindre  @Elisabeth Carrow.

« Elisabeth, je sais que la victime est une élève de Serpentard. Est-ce que c’est en lien avec Calypso ? Ma cousine. »

Henry se tient derrière elle, il lui a glissé ces quelques mots à l’oreille de façon discrète pour ne pas attirer de problème à la préfète. Le Gryffondor ne veut pas l’embêter, mais il doit savoir si Calypso va bien. Étant donné qu’il est plus âgé, Henry a tendance à vouloir protéger cette enfant. Pour lui, elle a encore la possibilité de devenir quelqu’un de bien et de ne pas croire l’éducation idiote de leur famille, donc il doit la protéger. Cependant, si c’est vraiment sa cousine qui est la victime, comment Henry va réagir ? Va-t-il pouvoir être diplomate? Va-t-il pouvoir se retenir de se venger ?

Certes Henry s’est amélioré lors de son apprentissage à Poudlard, mais comment va-t-il réagir si on s’en prend à sa famille? En réalité, pendant quelques instants Henry se rend compte qu’il serait prêt à se venger de tout élève coupable de l’agression. Sang-pur, sang-mêlé, né-moldu… plus rien ne compte quand on s’en prend à l’un de ses proches.

KoalaVolant
Henry Greengrass
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